Liste des Groupes | Revenir à fr photo |
Le Sat, 04 Mar 2023 08:27:54 +0100, Ghost-Raider a écrit :Oui, mais le père devrait alors partager ses droits.
Le 03/03/2023 à 23:15, jdd a écrit :Grave négligence du fils qui aurait dû rajouter son prénom sur laLe 03/03/2023 à 18:13, Ghost-Raider a écrit :Oui, oui, après la mort de l'auteur.
>70 ans c'est très court en fait. C'est moins que la vie d'un homme.mais c'est *après* la mort de l'auteur...
100 ans seraient mieux
>
>
Mais ça peut ne faire qu'une génération. Le fils peut être privé des
droits sur les œuvres de son père auxquelles il peut avoir participé,
sans compter les liens latéraux.
couverture
C'est la solution, chaque fils se déclare co-auteur avec son père, rajoute une phrase ou une dédicace et l’œuvre ne tombe jamais dans le domaine public.A 100 ans, on ajoute une génération et on ne prive que l'éventuelencore que... s'il a participé, comme son père...
petit-fils.
Oui mais il s'agit d'un auteur bien connu de son temps mais bien oublié depuis. Cette critique a peut-être découragé des lecteurs. Il faut voir si on peut le prouver (voir plus bas).J'ai eu le cas avec un de mes grands-oncles, auteur prolixe mort endonc plutôt positif pour ton grand-oncle
1946, année de ma naissance. J'ai eu la surprise en 2012, donc avant le
terme de 70 ans en 2016, de trouver en vente une de ses œuvres, scannée
et rééditée à bon marché par un monsieur qui n'avait pas demandé
l'autorisation de ses héritiers, dont je suis. Je ne me suis pas
manifesté car en rééditant une telle oeuvre il rendait plutôt un service
à mon aïeul et il n'en a certainement pas vendu des tonnes.
De toutes façons, la loi impose qu'avant tout recours au tribunal, les parties doivent rechercher une transaction. Par ailleurs, les critiques doivent rester mesurées. "Très mauvais livre" n'est pas une critique mesurée, elle fleure bon la mauvaise foi, voire l'intention de nuire.Mais j'ai ensuite trouvé une critique d'un lecteur qui considérait qu'ilPas la peine d'aller au tribunal pour ça. Un auteur doit s'attendre à des
s'agissait d'un très mauvais livre ! Là, ce sont les droits moraux des
héritiers qui sont atteints et mon nom par la même occasion. Un de ces
jours, je vais demander des précisions à cet éditeur d'occasion.
critiques négatives. (comme ici pour les mauvaises photos :-) )
Pour les héritiers, je doute qu'ils obtiennent réparation d'un préjudiceIl faut pouvoir prouver un préjudice. C'est facile, il suffit de payer grassement des gens qui affirmeront par écrit sur l'honneur qu'ils envisageaient d'acheter douze douzaines de l'ouvrage chacun pour en faire cadeau dans leur famille mais qu'ils en ont été dissuadés par cette critique.
de mauvaise critique sur le tonton...
Les messages affichés proviennent d'usenet.