Re: Sur quoi se basent les experts pour prédire les incendies ?

Le lundi 7 août 2023 à 09:17:38 UTC+2, PaulAubrin a écrit :

Le 06/08/2023 à 17:26, Duzz' a écrit :

Le 06/08/2023 à 17:00, PaulAubrin a écrit :

Le 06/08/2023 à 16:32, Duzz' a écrit :

 
Je ne sais pas.
En l'occurrence, je ne vois que le pitre PaulAubrin.

 
Leur méthode pour déterminer les risques d'incendie donne de bons
résultats. Elle s'appuie essentiellement sur la quantité de
combustible et la force du vent.

 
(Re)lisez, zozo :
<news:MfV-43a3u0WFBpwqckyJSwJrVPo@jntp>

La combustion est nécessite un combustible et un comburant. Dans le cas
des incendies de forêt, le combustible est le bois mort des sous-bois et
les broussailles. Le comburant est l'oxygène de l'air (en plus grande
abondance quand le vent est plus fort. Ce n'est pas 1°C de plus de
température de l'air qui change la fréquence ou la violence des
incendies. Le réchauffement climatique (1,1°C en 170 ans) n'a rien
changé à la fréquence ou la violence des incendies.
>

Au fond vous répétez toujours les mêmes lieux communs pour espérer tromper qui ?



 
Pendant l’année 2021 une vague de chaleur historique a frappé l'ouest du Canada. Le 29 juin 2021,

un nouveau record canadien de température a été établi dans le village de Lytton en Colombie-Britannique

avec 49,6 °C (soit près de 24°C de plus que la normale). Le dôme de chaleur qui a affecté

le pays pendant 2 semaines a été à l'origine de plus de 1 000 nouveaux records locaux de température journalière et a contribué à une saison des feux de forêt précoce et supérieure à la moyenne.


Cette chaleur extrême a également eu des conséquences sur la santé humaine, causant 619 décès en Colombie-Britannique.Note de bas de page2  Un nouvel épisode de chaleur extrême a été observé en fin de 2022, et s’est propagé au reste du Canada. Des feux de forêt dans la province de Terre-Neuve et Labrador ont provoqué l’état d'urgence pendant une semaine car les routes de ravitaillement ont été coupées du monde pour les populations locales de Grand Falls-Windsor et des environs de l’autoroute de la communauté de Bay d'Espoir.Note de bas de page3

Neuf (9) des 10 années les plus chaudes ont été enregistrées au cours des 25 dernières années. L'année 2010 a été l'année la plus chaude avec une température moyenne supérieure de 3,0 degrés Celsius (°C) à la valeur de référence. L'année 1972, avec une moyenne inférieure de 2,0 °C à la valeur de référence, a été l'année la plus froide qu'ait connue le Canada depuis 1948.

La température moyenne annuelle au Canada a augmenté presque 2 fois plus vite que la moyenne mondiale. Toutefois, les tendances varient selon les régions du pays. Les températures ont augmenté davantage dans le nord que dans le sud du Canada. La température moyenne annuelle dans le nord du Canada a augmenté 3 fois plus que le taux de réchauffement moyen mondial.

Les effets du réchauffement généralisé sont évidents dans de nombreuses régions du Canada et il est prévu qu’ils s’intensifieront dans le futur. Au Canada, ces effets comprennent des chaleurs extrêmes plus fréquentes, des froids extrêmes moins fréquents, des saisons de croissance plus longues, des saisons de couverture de neige et de glace de mer plus courtes, un écoulement fluvial printanier de pointe plus hâtif, un amincissement des glaciers, un dégel du pergélisol et une élévation du niveau de la mer (Bush et Lemmen, 2019).

https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/indicateurs-environnementaux/changements-temperature.html