Re: éoliennes et insectes

Longeville a formulé la demande :

Le 28/08/2022 à 08:43, PaulAubrin a écrit :

Le 27/08/2022 à 22:08, Longeville a écrit :

Le 27/08/2022 à 21:34, PaulAubrin a écrit :

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Ce sera difficile d'utiliser les éoliennes pour réduire la population des chats (excepté les chats-huants), à moins de les mettre dans de petites montgolfières, ou de les projeter avec de grosses frondes.

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Aubrin ne fait pas mystère de ses convictions néomalthusiennes.
C'est un simple propagandiste de base mais il œuvre du mieux qu'il peut pour la cause qui lui tient à cœur qui par ailleurs converge avec celle d'un certain nombre de ses pairs. Il n'y a pas besoin de complot, mais les vagues d'hystéries collectives aident.
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 Qu'est-ce que vous vouliez nous raconter avec votre histoire de chats dans une discussion sur les éoliennes et les insectes ?

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Aubrin a dit : "On sait que les éoliennes font des hécatombes d'oiseaux, grands et petits. "
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Et j'ai répondu : "Le chat n’est pas seulement une menace en Australie, mais dans le monde entier. Selon une étude menée aux États-Unis et publiée dans la revue Nature en 2013, ils seraient responsables de la mort de 1,3 à 4 milliards d’oiseaux et 6,3 à 22,3 milliards de petits mammifères chaque année.
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Les matous sont ainsi considérés comme l’une des cent espèces exotiques envahissantes les plus dommageables dans le monde. Parmi eux, les chats errants sont une plus grande menace pour les oiseaux que les chats domestiques, particulièrement les chats harets, c’est-à-dire les chats domestiques revenus à l’état sauvage, après un abandon par exemple.
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Au Canada, ils sont responsables de la mort de 2 à 7 % de la population totale d’oiseaux du pays chaque année, selon une étude menée en 2013 par Peter Blancher, professeur au Centre national de recherche sur les espèces sauvages. "
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Fin de l'histoire :-D

Des espèces envahissantes, j'en croise chaque fois que je vais faire mon marché, à 300 mètres de chez moi. L'autre problème, c'est que je trouve en grand nombre papiers gras, canettes, détritus à la fin de chaque nuit de fête tout au long du cours Dillon