Sujet : Re: Les spectres d'absorption des infra-rouges par le CO2 atmosphérique
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 15. May 2023, 17:27:28
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Le 15/05/2023 à 16:45, Perplexity a écrit :
Le 15/05/2023 à 14:21, PaulAubrin a écrit :
Il est prouvé, donc exact, de dire que les hypothèses de base des modèles climatiques CMIP6 ont été invalidés par comparaison de leur prédictions avec une période bien définie d'observations.
Il n'est pas prouvé ni exact de dire que les hypothèses de base des modèles climatiques CMIP6 ont été invalidées en comparant leurs prédictions avec une période bien définie d'observations. Certains résultats montrent que les modèles CMIP6 ont réussi à simuler avec succès le déclin à long terme des précipitations et la sécheresse dans le sud-ouest de l'Amérique du Sud.
Aucun rapport avec les précipitations dans le sud-ouest de l'Amérique du Sud. Les hypothèses à la base des modèles CMIP6 n'ont pas permis de reproduire correctement l'évolution des températures de la troposphère entre 1980 et 2014. L'écart est statistiquement significatif.
Selon la méthode scientifique, ces hypothèses sont donc invalidées et ne peuvent pas servir à faire des projections "climatiques".
C'est expliqué de manière rigolote, mais parfaitement exacte ici :
https://www.youtube.com/watch?v=0pK01iKwb1U&feature=youtu.beEn cas d'écart entre les conséquences de l'hypothèse et les observations, les hypothèses sont FAUSSES. Peu importe leur beauté, ou le renom de celui qui les a formulées, elles sont fausses, point barre.
NB : Votre déni permanent de la réalité que je prenais au départ pour de l'ignorance commence à ressembler de plus en plus furieusement à des mensonges aussi grossiers que délibérés.
https://doi.org/10.1029/2020EA001281Biais de réchauffement généralisé dans les couches troposphériques de CMIP6
La tendance des modèles climatiques à surestimer le réchauffement de la troposphère tropicale est connue depuis longtemps. Nous examinons ici les résultats individuels de 38 modèles récemment publiés dans le cadre du Projet de comparaison de modèles couplés version 6 (CMIP6) et montrons que le biais de réchauffement est désormais observable à l'échelle mondiale également. Nous comparons les résultats de CMIP6 aux séries d'observations provenant de satellites, de ballons météorologiques et de produits de réanalyse. Nous nous concentrons sur l'intervalle 1979-2014, la période maximale pour laquelle tous les produits d'observation sont disponibles et pour laquelle les modèles ont été exécutés en utilisant des forçages historiquement observés. Pour les couches inférieures de la troposphère et les couches moyennes de la troposphère, tant au niveau mondial que sous les tropiques, les 38 modèles surestiment le réchauffement dans chaque analogue d'observation ciblé, dans la plupart des cas de manière significative, et les différences moyennes entre les modèles et les observations sont statistiquement significatives. Nous présentons des preuves que la cohérence avec le réchauffement observé nécessiterait des valeurs de sensibilité climatique à l'équilibre (ECS) plus faibles.