Sujet : Re: L’éruption du Hunga-Tonga et le silence des climatologues
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (Paul Aubrin)
Groupes : fr.soc.politique fr.soc.environnementDate : 16. Nov 2023, 09:56:46
Autres entêtes
Organisation : Eweka Internet Services
Message-ID : <3Xj5N.100108$99Z2.85459@fx03.ams4>
References : 1
User-Agent : Mozilla Thunderbird
Le 16/11/2023 à 00:04, Cardinal de Here a écrit :
Une explication rationnelle du très fort réchauffement climatique observé depuis juillet 2023. Et non, oubliez le CO2, il n'y est pour rien. La cause en est la vapeur d'eau envoyée dans l'atmosphère par la lave lors de l'éruption du volcan sous-marin Hunga-Tunga en janvier 2022. Et la vapeur d'au est un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le CO2 !
https://www.skyfall.fr/2023/08/11/dissimuler-le-rechauffement-naturel/#more-8184
D'habitude, les éruptions volcaniques injectent de la poussière dans la haute atmosphère, ce qui a un effet temporairement refroidissant, parfois très marqué comme en 1816, l'année sans été.
Le Hunga-Tonga qui est un volcan sous-marin a projeté de la vapeur d'eau. L'augmentation de +10% de la concentration en vapeur d'eau de la haute atmosphère a, sous les tropiques, un effet radiatif de 7,5 W/m², alors qu'un doublement de la concentration de CO2 aurait un effet de 1,9 W/m². La vapeur d'eau disparaît plus en 1 an ou 2, plus rapidement que le CO2 (5 à 10 ans).
Ce qui est intéressant, est qu'aucune catastrophe ne s'est produite avec un "forçage radiatif" 4 fois plus important que celui qui est supposé par le GIEC entraîner l'apocalypse climatique. Le "climat" (le système atmosphère océans) est donc beaucoup plus stable que ce que croient ceux des "experts" du GIEC qui imaginent des "rétroactions positives" et donc une instabilité intrinsèque, puisqu'il atténue rapidement les perturbations externes, ce qui est typique des systèmes à rétroaction négative.
Celles-ci pourraient résulter des variations de la couverture nuageuse. Malheureusement, les modèles "climatiques" actuels sont bien trop grossiers pour modéliser le comportement des nuages sur de telles durées. Il n'y a donc pas de simulation possible.