Sujet : Re: La science du climat...
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (Paul Aubrin)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 21. Mar 2024, 23:17:47
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Le 21/03/2024 à 18:15, Duzz' a écrit :
Le 21/03/2024 à 17:55, JC_Lavau a écrit :
Le 21/03/2024 à 15:23, Duzz' a écrit :
Le 21/03/2024 à 15:17, Paul Aubrin a écrit :
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Après avoir exceptionnellement tenté un copié-collé, Duzz en revient à sa technique de débat habituel : les horions.
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(Re)lisez les éructations imbéciles de votre comparse en climato-délires.
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Rappels :
C'est bon, tout le monde a bien compris tes éructations imbéciles de vieux débris sénile.
L'approche comptable utilisée pour tenter de prouver que l'augmentation des concentrations atmosphériques de CO2 sont d'origine humaine ne tiennent pas la route parce que les flux naturels sont énormes comparés aux "émissions" humaines. De simple fluctuations "naturelles" (ou des erreurs d'estimation) faussent complètement la balance comptable.
En revanche, les calculs de dilution isotopique (j'ai cité un exemple de la façon dont on fait le calcul) montrent que la proportion de CO2 "anthropique" présente dans l'atmosphère n'est qu'une fraction de ce qu'estiment les "experts" du GIEC. On peut se procurer facilement (dans les données publiques de Mauna Loa ou Barrow) les rapports 13C/12C et calculer soi-même le taux de dilution. Le résultat contredit complètement les supposition du "modèle de Bern" de l'UNFCCC : le dioxyde de carbone "anthropique" réagit avec une demi-vie d'environ 5 ans avec les "réservoirs" (et devient donc le dioxyde de carbone de ces réservoirs). Il ne reste en aucun cas des centaines d'années dans l'atmosphère.