Re: Selon l'IFOP...

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Sujet : Re: Selon l'IFOP...
De : cardR (at) *nospam* gmail.com (Cardinal de Hère)
Groupes : fr.soc.politique fr.soc.religion
Date : 17. Feb 2022, 03:17:52
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Le 17/02/2022 à 00:52, Richard Hachel a écrit :
Le 17/02/2022 à 00:19, Cardinal de Hère a écrit :
 
Je ne pense pas qu'il y ait une solution à ça, comme l'ont compris Jésus-Christ et Jean-Paul Sartre et bien d'autres philosophes.
Chacun tire effrontément la couverture à soi en mentant, en truquant, en menaçant, en diffamant.
"Le péché est une loi de la gravitation".
>
Hugo ?
 Oui, dans "les misérables".
"Le péché est une gravitation".
 La bible dit la même chose : "Il n'est pas de l'homme de diriger son pas".
Toutes les nations du monde attendent un Messie. Les imbéciles n'ont toujours pas compris que le seul vrai Messie possible, c'est un mec qui leur dirait : "Le premier qui bouge, je lui fais passer la casserole au travers de la gueule".
 Ils veuelent un Messie démocratique, les pauvres cons. Ils n'ont rien COMPRIS de la nature humaine.
Les abrutis continuent de rêver.
 Quelle bande de pauvres cons!
 Ils n'ont rien compris des textes qu'ils lisent, où tout est dit clairement si on lit bien.
   Encore faut-il savoir lire et ne pas aller lire les conneries de l'Antichrist Saint Paul que Jésus-Christ avait pourtant ordonné de ne pas suivre.
 "Petits-enfants, méfiez-vous, L'Anti-Christ Paul vient, et il est déjà né dans ce monde.
Lui n'a rien compris du tout de moi mais il détournera pourtant tous les élus de la terre à son idéologie bidon du pardon. Je vous dis ces choses, afin que vous vous souveniez, à la fin des temps, que je vous les avais dites".
 Les grandes citadelles se prennent toujours de l'intérieur.
La finalité de la création, voulue par Dieu de toute éternité, c'est de faire de l'homme une créature capable de partager la vie, l'amour et la liberté absolues du Créateur. En Psaumes 81,6 il est dit "Des dieux et des fils du Très-Haut vous êtes, vous tous". Or Dieu est véridique ce qui implique qu'il ne se contredit pas lui-même. Il ne peut donc pas dire à l'homme : "Je t'ordonne d'être libre comme un dieu, comme un fils". C'est pourquoi l'homme ne peut que venir librement vers Dieu. Et pour qu'il puisse venir librement Dieu lui propose de choisir entre la vie et la mort, l'amour et la haine, la liberté et la servitude, le bien et le mal. Et c'est écrit en Deutéronome 30,15 "Vois, je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal."
La liberté de conscience se limite au choix entre ce que le Parler (ha-Dabar en hébreu, ho Logos en grec) a imposé à la nature humaine en particulier le cerveau reptilien avec ses programmations animales et ce que l'Esprit (ha-Ruah en hébreu, ho Pneuma en grec) propose à l'esprit de l'homme, l'amour de Dieu, sa grâce et les programmations spirituelles qui si l'homme les reçoit, les assimile et les pratique le transformeront en un dieu et un fils de Dieu. Cette liberté de conscience n'est pas la liberté absolue d'un dieu et d'un fils de Dieu. Et par conséquent Dieu peut l'imposer par le Parler sans se contredire.
Le mal ce n'est pas la nature humaine, voulue et bénie par le Créateur. Le mal c'est le choix libre et volontaire par l'esprit humain des programmations animales contenues dans le "serpent", symbole du cerveau reptilien, contre les programmations spirituelles proposées par Jésus. L'homme a élevé le serpent et en a fait son Dieu. Et Jésus est venu pour sacrifier le serpent, c'est-à-dire sa nature humaine, afin primo d'être conduit à sa perfection de Dieu Fils de Dieu et secundo de devenir Dieu pour les Goïm qui l'ont sacrifié. Car la divinisation des boucs émissaires lynchés est l'une des programmations animales imposées à l'homme par le Parler. Quand les Goïm ont eu la certitude que Jésus était Dieu ils ont compris que pour être sauvés et renaître de l'Esprit comme le Christ lui-même ils devaient recevoir, assimiler et pratiquer son enseignement et ses commandements difficiles car ils s'opposent à ceux qu'ils reçurent lors du péché originel quand ils crurent en la chair et non en l'Esprit. Le sacrifice du Christ permet à celui qui s'en reconnaît coupable de voir en lui Dieu parmi nous et donc de lui faire confiance. Mais si sachant que Jésus est Dieu l'homme refuse de se convertir en recevant l'Esprit alors il n'est plus de salut pour lui car il a rendu inutile le sacrifice du Sauveur.

Date Sujet#  Auteur
17 Feb 22 * Re: Selon l'IFOP...2Richard Hachel
17 Feb 22 `- Re: Selon l'IFOP...1Cardinal de Hère

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