Le jour du pois[s]on !

Slt,

« Le renseignement mobilisé pour protéger les pépites tricolores
Tracfin et d’autres services jouent un rôle de plus en plus important dans la détection des menaces.

Le Figaro28 May 2022Manon Malhère @Manonmalhere
La crise a accentué les menaces sur les actifs stratégiques que sont, en grande partie, les entreprises avec une technologie à très forte valeur ajoutée qui peuvent attirer les acteurs étrangers », avertit le ministère de l’économie.
Une situation qui n’est pas sans risque pour les intérêts de la France. Car si les investissements étrangers sont bienvenus - il y va de l’attractivité du pays! -, la vigilance reste de mise pour détecter les acteurs qui chercheraient à s’emparer des brevets, capter de nouvelles technologies, opérer des transferts de recherche voire acquérir une entreprise pour faire de l’espionnage industriel…
Dans ce contexte qui n’est pas nouveau, marqué par un renforcement du contrôle des investissements étrangers ces dernières années, le renseignement économique prend de l’ampleur. « C’est en amont, durant la phase de détection des menaces, que les services de renseignement jouent un rôle clé. Nous avons cartographié les entreprises stratégiques que ces services surveillent au quotidien. En moyenne, nous recevons 50 alertes par mois », explique Bercy. Par exemple, un investisseur étranger qui visite une entreprise stratégique à plusieurs reprises peut attirer l’attention des services.
Extraterritorialité
Et outre la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ou la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), le discret service de renseignement financier Tracfin, qui lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, est étroitement associé à cette détection des menaces.
S’appuyant sur ses « partenariats privilégiés » avec le secteur privé - administrateurs judiciaires, mandataires judiciaires, commissaires aux comptes -, Tracfin analyse de près la chasse au capital scientifique et industriel français par des investisseurs étrangers dont les stratégies peuvent être sophistiquées. « Souvent axées autour d’entrées capitalistiques incohérentes, de tentatives de reprises via des montages financiers dont l’origine des fonds reste douteuse ou dont les bénéficiaires effectifs apparaissent peu clairs, ces stratégies sont menées par des acteurs étatiques (services de renseignement étrangers) ou privés (fonds activistes) », précise Tracfin.
Dans le viseur également, l’extraterritorialité des lois, comme c’est le cas avec les Américains qui appliquent leurs règles en dehors des États-unis. L’objectif est alors de protéger les entreprises tricolores qui peuvent notamment être frappées de lourdes sanctions par ces pays, avec le risque d’être affaiblies. «En matière de corruption, le renseignement financier dont dispose Tracfin lui permet d’être en mesure d’identifier très en amont les entreprises susceptibles de faire l’objet de sanctions de la part de juridictions étrangères», et ainsi de judiciariser l’affaire en France avant qu’un pays étranger se déclare compétent, indique par ailleurs le service antiblanchiment de l’état français. »

Sur un aire de Sardou, le dernier vient de partir !
Comment veux tu qu’il arrive a controler quoi que ce soit ?
Chaque fois qu’il y a une entreprise avec des denier public, soit elle a un domaine reserve, soit elle perd de l’argent ….
Et la on parle de pepite, qu’il faut proteger de l’espoignage industriel, escuse moi il faut que j’achete du Pepsi ?

C’est la culture qui prends comme la transission energetique ses aise ?
Ou en est on des pepites de la transsision energetique, a proteger de l’espionage industriel ?
Dire que la Gendarmerie c’est mit au logiciel libre ….

Merci

—
Ptilou