Sujet : Re: Incorrigibles
De : om+news (at) *nospam* miakinen.net (Olivier Miakinen)
Groupes : fr.lettres.langue.francaiseDate : 10. Nov 2023, 10:11:27
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Le 09/11/2023 22:23, joye a écrit :
Relisez: il parlait du fait de piquer des zeuros de la caisse. Des
blessures physiques, pas forcément. Mais des blessures psychiques, oui,
généralement.
Relisez, vous-même.
Tu n'as donc toujours pas compris ?
Déjà la première fois tu aurais dû tiquer à l'idée que je puisse répondre
une telle bêtise si ç'avait été à propos du viol et pas du cambriolage.
Le fait que tu me croies assez stupide pour avoir de telles idées, c'est
vraiment insultant de ta part, et j'aimerais bien que tu t'excuses pour
m'avoir prêté de telles intentions. D'autant que j'aurais été vraiment un
complet demeuré d'avoir donné un lien Google concernant les cambriolages
si j'avais voulu parler de viol.
Mais quand tu t'entêtes à croire que cette opinion déplorable était vraiment
la mienne, après que je t'ai expliqué que je parlais des cambriolages, et que
Valcarus lui aussi l'a immédiatement compris ainsi, on dirait vraiment que
ta seule intention est de me dénigrer en faisant croire faussement que je
minimiserais consciemment les conséquences d'un viol.
C'est honteux, j'espère que tu t'en rends compte.
>>>> Passe qu'un viol comprend forcément de vraies blessures physiques et
>>>> psychiques.
>>
>>>> Piquer des zeuros de la caisse, non.
>>>
>>> Physiques, pas forcément.
Le mot "physiques" qu'il répète était utilisé seulement dans la phrase
qui parlait du viol.
Alors explique-nous s'il te plaît ce que signifie ton « non » dans la phrase
à laquelle je répondais, s'il signifie autre chose que « contrairement au viol,
un cambriolage ne comprend pas de vraies blessures physiques et psychiques ».
D'ailleurs ton argument « le mot physiques n'est pas dans cette phrase » pour
prétendre que tu n'en parles pas, tu aurais pu l'appliquer aussi bien à ma
réponse puisque ni le mot « viol » ni le mot « cambriolage » n'est dans ma
phrase, ce qui en suivant la même logique prouverait que je ne parle ni de
l'un ni de l'autre.
Joye, j'attends de vraies excuses de ta part pour m'avoir cru à la fois stupide
et insensible aux conséquences d'un viol, et persister à le prétendre.
-- Olivier Miakinen