Re: radio numérique et service public

Le 22/08/2022 à 19:59, François Guillet a écrit :

Il se trouve que Stephane Legras-Decussy a formulé :

On 08/17/2022 10:01 AM, Olivier B. wrote:
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La norme DAB+ est imposée à la vente de véhicules neufs depuis 2020,

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à l'heure où tout le monde est dans sa voiture avec un smartphone en Bluetooth  :-D
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les technocrates normateurs avec 10 ans d'inertie.

 Ce n'est pas qu'ils ont de l'inertie, c'est que c'est commercial.
 En DAB il faut un tiers pour concentrer une dizaine de stations sur un seul émetteur alors qu'en FM une station peut monter en toute indépendance son propre émetteur sur son site.
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Toute indépendance à la législation près, quelle est la différence de  règlementation d'attribution des *fréquences* DAB par rapport à la bande FM ?

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 Belle aubaine pour le lobby des diffuseurs (TDF & Co), qui ont bien manoeuvré pour se rendre indispensables et continuer à recevoir la manne de la radiodiffusion, alors qu'on n'avait plus besoin d'eux puisque tout peut passer aujourd'hui par Internet. Et nos décideurs politiques toujours incompétents en science et techno ont entériné l'affaire.
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Tout dépend de la réponse à la précédente question, parce qu'on peut aussi voir l'opportunité pour un conçurent de TDF & Co de diffuser à moindre frais plusieurs radios, ou à une entité de décider de diffuser son propre multiplex de radios, chose qu'une petite structure indépendante peut bien plus facilement envisager de faire en terme de *moyens techniques* grâce au DAB qui, amha, diminue les couts d'infrastructure tout comme l'a fait le DVB.
De plus, les gros diffuseurs comme TDF sont "assis" sur des sites de diffusions, le DAB ne permet-il pas de concurrencer cette topologie d'implantation couteuse par une répartition de X émetteurs de même fréquences répartis sur un bassin de population ?
ps. j'imagine qu'au delà de l'attribution de fréquence qui relève du *moyen*, l'autorisation de diffusion du *contenu* n'a pas du évoluer avec l'arrivé du DAB+
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