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Le très gentil Luciole135 a écrit :Le 21/11/2023 à 23:07, Olivier@ a écrit :(supersedes <ujj9kj$10ifv$1@dont-email.me>)>
Le très gentil Luciole135 avait énoncé :
Votre chef
Ridicule.
Antony Fauci a publié une étude à ce sujet.
Ce sont les bactéries qui ont tué lors de la grippe espagnole et non pas
le virus.
>
https://www.nih.gov/news-events/news-releases/bacterial-pneumonia-caused-most-deaths-1918-influenza-pandemic
1. Il s'agit du virus de la grippe. SARS-coV-2 et virus grippal sont deux
virus différents. Les confondre équivaut à confondre deux bactéries
différentes.
Et voilà qu'Olivier invente des propos dans la bouche de ses contradicteurs.
>2. Si les bactéries tuent, c'est que les poumons ont été préalablement>
délabrés par l'infection virale et ses conséquences. *Par définition, sans
infection virale, pas de surinfection*.
Cela ne change rien à l'article de l'injecteur en chef Fauci.
>3. Dans ce cas, les patients sont *en réa* et ne sont donc pas pris en>
charge par leur généraliste. Et les réanimateurs n'attendent pas vos
conseils imbéciles pour prescrire des antibiotiques.
Ils sont en réas car votre dictature a interdit aux généraliste de soigner
avec les traitements efficaces assortis d'une campagne médiatique et
gouvernementale clamant sans cesse de rester chez soi si contaminé pour
sauver des vies.
>4. Prescrire des antibiotiques systématiquement au départ de l'infection>
est la méthode la plus efficace pour créer des résistances, puisqu'on ne
peut pas couvrir tous les germes. Les antibiotiques ne doivent pas être
prescrits larga manu, mais seulement sur certains malades, en cas de
surinfection bactérienne suspectée ou prouvée et si possible en ciblant un
groupe de bactérie. Et dans le cas contraire, à très large spectre. Et
comme écrit plus haut, les malades dont la surinfection risque d'entraîner
la mort sont ceux dont les poumons ont été sérieusement endommagés par le
virus. Ces patients sont donc déjà hospitalisés.
Balivernes balayées par Raoult, celui que vous détestez car il prouve que
vous ne comprenez rien à rien.
>5. Quand on confond deux virus et qu'on ne sait même pas que les premiers>
antibiotiques à être utilisés le furent environ 25 ans après la grippe
espagnole, on fait preuve d'un peu de modestie. Idem quand on ne prend pas
en compte la gravité des malades et qu'on n'a aucune notion de résistance
aux antibiotiques ou de protocoles d'antibiothérape.
Vous délirez.
>Bref, quand on ne sait pas, on se tait.>
Quand commencez-vous ?
Ça ne mérite même pas une argumentation.
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