Egalité des temps propres

 On croyait les bases de la physique théorique relativiste gravées dans le marbre.
 Sauf que depuis 1905, au grand étonnement de beaucoup, on n'a pas beaucoup avancé dans sa description pratique sinon pour dire, peut-être, par mal de conneries, genre : "les masses tordent l'éther qui n'existe pas avec ses petits doigts musclés".   Qu'est ce qu'on a fait de mieux depuis les transformations de Lorentz, et qu'a-t-on fait de plus cons que la description d'un Langevin?
 Bon, je recommence pour Python, notre grand critique international de la physique théorique, qui n'a toujours pas compris le cas Hachel, et qui confond son génie pratique avec un crétinisme extravagant.
 "Si, pour un parcours égal, deux protagonistes parcourent la distance en des temps observables (temps impropres) égaux, alors les temps propres seront égaux".  Il s'agit d'un simple pythagorisme.  L'équation de Hachel primum movens de la théorie de la relativité, d'où tout va ensuite découler, (béni soit-il et loué ses saintes affirmations) étant la base même de la théorie.
 <http://news2.nemoweb.net/jntp?nPM2KRR_1B-w2YALmhDllkyBkno@jntp/Data.Media:1>
 R.H. --
Ce message a été posté avec Nemo : <http://news2.nemoweb.net/?DataID=nPM2KRR_1B-w2YALmhDllkyBkno@jntp>