Sujet : Re: Théories correctes mais fausses
De : rverret97 (at) *nospam* gmail.com (Richard Verret)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 17. Oct 2023, 17:19:51
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Le 16/10/2023 à 20:37, Yanick Toutain a écrit :
Selon les newtonistes il n'existe que 4 sortes de relations longueur de trajet / temps.
Les choses sont déjà assez compliquées comme ça pour ne pas en rajouter.
Pour ce qui est de la vitesse réelle, la cinématique classique suffit largement. Cette vitesse est donnée par la dérivée du vecteur position d’un mobile dans un référentiel v = dOM’/dt. Elle se décompose suivant une base hilbertienne en trois vecteurs Xk. Elle se décompose suivant un repère de Frenet en une vitesse radiale et une vitesse angulaire pour un mouvement plan, notions qui doivent de rattachées aux vôtres, distesse et phitesse, si j’ai bien tout compris.
Selon les verretistes, il n’existe que deux types de vitesses, la vitesse réelle ci-dessus définie et la vitesse observable/perceptible Vo = dOM’p/dt, M’p étant la perception du point M’ par un observateur d’un référentiel donné..
C’est très net dans l’espace réel constitué de tous les points de l’univers. Un point matériel est défini par rapport à un référentiel de référence R, muni d’une origine O, les coordonnées d’un point M’ à un instant t sont fonction de sa position par rapport à cette origine et à sa vitesse par rapport à ce référentiel; M’ = M’(x, y), x étant le vecteur position de M’: x et y le vecteur vitesse, y = f(v). La dérivée de ce vecteur par rapport au temps détermine respectivement la vitesse réelle v et une grandeur u fonction de l’accélération de ce point par rapport au référentiel de référence.
La perception du monde par un observateur est représenté par un espace S, spécifique à cet observateur. Chaque point M’ perçu est un point M’p de cet espace, dit espace perceptible. Cet espace étant un espace sphérique, chaque point perceptible (observable) a des coordonnées (α, β), α étant fonction de sa position par rapport à cet observateur et β de sa vitesse.. On obtient de même respectivement la vitesse perceptible Vp et l’accélération perceptible Up en dérivant le vecteur OM’p par rapport au temps.
On constate aisément que v = γ Vp et que u = γ Up, γ étant le coefficient de Lorentz.