Sujet : Re: Théories correctes mais fausses
De : yanicktoutain (at) *nospam* gmail.com (Yanick Toutain)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 28. Oct 2023, 18:12:05
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Le samedi 28 octobre 2023 à 14:43:40 UTC+2, Richard Hachel a écrit :
Le 28/10/2023 à 13:14, Richard Verret a écrit :
Le 27/10/2023 à 23:15, Yanick Toutain a écrit :
Ces histoires de variation de temps avec la vitesse est une invention
d’Einstein qui n’a trait à aucune réalité.
Il faut arrêter (mais bon, nous sommes dans ici dans un immense
phénomène religieux) avec Einstein.
Ce type n'était qu'un plagiaire littéraire qui n'a jamais mis les pieds
dans un laboratoire, et qui peu à peu, est devenu une création
médiatique comme Saint Paul dans le christianisme).
Respirez, soufflez, putain de bordel de merde!
Arrêtez avec votre fanatisme intégriste!
Bon, il est gentil Hachel, il est trop beau ce mec, il va faire une
leçon d'histoire, tant pis si l'on dit qu'il est fat et arrogant.
Dire les vérités est révolutionnaire.
C'est le physicien et mathématicien irlandais Joseph Larmor qui, le
premier, en 1897, publie un article
enseignant que le temps n'était pas une entité absolue, mais qu'il
était relatif à la vitesse.
Il publie alors la formule t'=t/sqrt(1-v²/c²) et parle de dilatation du
temps.
Il tente alors de proposer une série d'équation décrivant les
transformations à utiliser d'un référentiel à l'autre, mais échoue.
H.A. Lorentz va lui aussi tenter de trouver les bonnes transformations,
mais le pavé qu'il donne est inesthétique et faux.
C'est Henri Poincaré qui, le premier, en 1902, va donner les
transformations correctes, encore utilisées aujourd'hui, et expliquer que
si une masse perd du rayonnement, elle perd de la masse comme E=mc².
Tout ça est attribué à Albert Einstein, un copiste du bureau des
brevets de Berne (rien que le poste devrait faire sourire).
L'histoire de la théorie de la relativité a été volontairement
modifiée par Einstein et les anglo-saxons (et je remarque que les choses
s'aggravent nettement actuellement, ça devient du violent) comme a été
modifiée l'histoire de Jésus-Christ par Saint Paul et les romains, avec
les haines et les exterminations
qui s'en sont suivies.
Le monde est fou.
Rien de nouveau sous le soleil.
R.H.
Très utile rappel pour l histoire des élucubrations
" Larmor publie une forme de ce qu'on appelle maintenant les transformations de Lorentz dans les Philosophical Transactions of the Royal Society en 1897[1],[2], deux ans avant Hendrik Lorentz et huit ans avant Albert Einstein.. Larmor prédit aussi la dilatation du temps au moins dans le cas d'électrons en orbite. Il vérifie que la contraction des longueurs doit apparaître pour les corps dont les atomes sont liés par la force électromagnétique. Dans son livre Aether and Matter (1900), il présente à nouveau les transformations de Lorentz, la dilatation du temps et la contraction des longueurs, en les traitant par la dynamique plutôt que par leurs effets cinématiques. Larmor rejette la relativité restreinte ainsi que la courbure de l'espace-temps et la théorie de la relativité générale, bien qu'il y adhère pendant une courte période, au motif qu'un temps absolu est essentiel en astronomie.
Larmor soutient que la matière est constituée de particules élémentaires se déplaçant dans l'éther. Il pense que les charges électriques sont des particules, qu'il nomme électrons dès 1897. Dans ce qui paraît être la première mention de la dilatation du temps il écrit « ... les électrons individuels décrivent leurs orbites en un temps plus court que pour le système [au repos] avec un ratio de (1 - v²/c²)1/2 » (Larmor 1897).
Larmor pense que le flux de particules chargées constitue le courant électrique des conducteurs. Il calcule l'énergie émise par un électron en accélération et il explique les raies spectrales dans un champ magnétique par des oscillations des électrons.
En 1919, il propose le modèle de la « dynamo auto-entretenue » pour expliquer l'existence du champ magnétique terrestre, modèle encore en vigueur de nos jours.
Larmor est professeur lucasien de mathématiques à l'université de Cambridge de 1903 à 1932.
Il est fait chevalier en 1909[3]. En février 1911, il est élu au Parlement du Royaume-Uni au siège de l'université de Cambridge qui existait à l'époque"