Sujet : Re: Étude RCT sur l'efficacité et l'innocuité de l'ivermectine
De : usenet.org.c0akj (at) *nospam* passinbox.com (beST)
Groupes : fr.bio.medecineDate : 06. Jan 2025, 12:23:32
Autres entêtes
Organisation : A noiseless patient Spider
Message-ID : <vlgefj$1j6vn$1@dont-email.me>
References : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13
User-Agent : slrn/1.0.3 (Darwin)
On 2025-01-06, bruno <
bdidier@invalid.fr> wrote:
Tu veux plus d'exemples ? tu te sors les doigts et tu fais tes
recherches,
>
j'attends sur les CHERCHEURS, pas les politiques.
>
donc, tous les CNRS, INSERM, Pasteur, NIH, KIT, DKFZ, et autres
centres... ça en fait des milliards d'euros pour corrompre tout ce joli
monde.
Pas compliqué, quelles sont les sources de financements du CNRS ?
GROK me dit que le CNRS est auto-financé (propriété intellectuel) à
hauteur de 15% (c'est leur niveau d'indépendance).
60% provient de l'état (voir la corruption des politiques).
25% provient de contrats de recherches avec des organismes publics et
privés.
Le CNRS est, comme toute organisation scientifique, dépendante des
financements (à 85%), elle tient un discours qui correspond à ce que ces
financiers (ici, l'état à 60%) veulent.
Si le Ministre de la Santé est corrompu, alors le CNRS l'est
au moins à proportion de son financement en provenance de l'état.
C'est aussi simple que cela.
Preuve en est que sur le COVID19, les positions du CNRS n'ont pas varié
particulièrement des positions du gouvernements, à quelques exceptions
prêts ou certains chercheurs du CNRS se sont montrés critiques vis à vis
du gouvernement, dénonçant une expérience de "surveillance massive".
Un organisme non corrompu aurait tout de suite dénoncé la supercherie et
sorti les travaux statistiques pour prouver qu'il n'y avait pas de crise
sanitaire particulière. Les CNRS avaient les moyens techniques de le
faire, ils ne l'ont pas fait.
-- ST