Sujet : Re: Kilékon mékilékon mékilékon mékilékon !
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (Paul Aubrin)
Groupes : fr.bio.medecine fr.soc.environnementDate : 30. Jun 2024, 05:14:43
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Le 29/06/2024 à 10:52, Alf92 a écrit :
tu es antivax-C19, climato-sceptique, complotiste, raciste, populiste
(avec le bulletin de vote quivabien),...
assume au lieu de tortiller du fion et d'agumenter bêtement !
Exemple : qu'y a-t-il de complotiste à remarquer qu'il est bien
difficile de déterminer une tendance à la fréquence des "événements
climatique extrêmes" :
>
https://www.cjoint.com/data/NFDeYtYh7vg_evenements-extremes.png
L'échelle des temps d'un des deux graphiques est inversée, lequel ?
encore un bricolage cjoint...
Ce n'est pas un bricolage, c'est un graphique de la fréquence des événements météorologique extrême.
mouarffff
Et que pensez vous de la table 12.12 du sixième rapport du GIEC, que vous pouvez trouver au chapitre 12 de cette volumineuse synthèse de la littérature scientifique par des experts internationnaux ?
https://www.cjoint.com/data/NFEejQLYKTg_Page-90--from-IPCC-AR6-WGI-Chapter12.pdfles deux dernières colonnes sont hypothétiques parce que conditionnées par un "scénario d'émission" que la réalité n'a pas suivi. Seules les deux premières colonnes décrivent la synthèse de la réalité observée.
Comme le montre le graphique, rien n'indique une augmentation ou une diminution, au niveau mondial ou régional, de la fréquence, de la gravité ou de l'étendue du gel, des précipitations moyennes, des inondations fluviales, des fortes précipitations et des inondations pluviales, des glissements de terrain, de l'aridité, de la sécheresse hydrologique, de la sécheresse agricole ou écologique, du temps de feu ou des incendies de forêt, vitesse moyenne du vent, tempêtes de vent violentes ou tornades, cyclones tropicaux ou ouragans, tempêtes de sable et de poussière, nappes glaciaires ou de glace, chutes de neige abondantes et tempêtes de glace, grêle, avalanches de neige, niveau relatif des mers, inondations côtières, érosion côtière, vagues de chaleur marines, acidité des océans, pollution de l'air, conditions météorologiques ou rayonnement à la surface de la terre.
Les universitaires, les scientifiques, les médias ou les hommes politiques qui affirment le contraire sont contredits par l'institution la plus connue pour promouvoir le réchauffement climatique catastrophique, à savoir le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations unies.