La contamination par de l'ADN des vaccins mRNA

Quelques informations sur un procès en cours en Australie :
https://amps.redunion.com.au/australian-court-covid19-drugs-gmo-pfizer-moderna-law
Numéro de dossier : VID510/2023 Julian Fidge c. Pfizer Australia Pty Ltd & Anor
Résumé du cas : Il est allégué que les vaccins Covid-19 (produits monovalents et bivalents) produits par les défendeurs Pfizer et Moderna satisfont aux définitions légales australiennes pour être considérés comme des organismes génétiquement modifiés, conformément à l'article 10 de la loi sur le génie génétique.
...
Le degré de modifications génétiques impliquées dans la création du modRNA est incontestable et bien établi. Les détails les plus fins des modifications génétiques impliquées sont une question de preuve qui doit être présentée et expliquée au tribunal.
Les définitions ci-dessus ne sont pas controversées et figurent dans la législation de l'Union européenne, ainsi que dans la législation similaire sur les OGM en vigueur dans de nombreux autres pays.
Pfizer et Moderna connaissent depuis longtemps ces définitions juridiques, mais ont choisi de les ignorer lorsqu'ils ont voulu introduire leurs produits C19 sur le marché australien. En outre, le régulateur australien des technologies génétiques a peut-être "détourné le regard" lorsque Pfizer et Moderna ont voulu importer et transporter leurs produits en Australie.
...
Les produits C19 de Pfizer et Moderna sont grossièrement contaminés par un autre OGM
À cela s'ajoute la découverte récente, par l'expert en génomique Kevinn McKernan, d'une contamination dangereusement excessive des substrats cellulaires par de l'ADN. Cette découverte a maintenant été vérifiée de manière indépendante par d'autres laboratoires internationalement reconnus utilisant des flacons différents, ce qui prouve la contamination flagrante, préexistante et continue de l'approvisionnement mondial par Pfizer et Moderna. Récemment, le Canada a également confirmé une contamination massive de l'ADN dans 27 flacons.
La contamination par l'ADN synthétique (modDNA) est de 188 à 509 fois supérieure aux limites légales.
https://osf.io/preprints/osf/b9t7m