Re: Cancers : une évolution préoccupante pour le poumon et le pancréas chez les femmes

On 2024-11-18, Paul Aubrin <paul.aubrin@invalid.org> wrote:

Si l'on écoute ce qu'il dit, il explique que l'ÉPIDÉMIE a été le
résultat de la création d'une codification par l'OMS, et s'est
poursuivie par des épidémies de tests.

Ce n'est pas ce qu'il dit, c'est ce qu'il démontre par un travail
d'analyse statistiques des sources officielles.

C'est différent, parce qu'on pourrait penser qu'il affirme cela par
conviction comme d'autres, dont moi, le font. Mais non, Pierre Chaillot
n'avait pas d'à-priori sur le sujet, il a fait une étude scientifique et
il se contente d'exposer des faits.

À ce jour, son travail n'a pas été contredit sérieusement.

Pierre Chaillot a raison sur un point : les épidémies d'infections
respiratoires hivernales résultent autant de l'arrivée de conditions
climatiques favorables (apparemment on ne sais pas pourquoi elles le
sont) dont profitent les agents infectieux.

Elles arrivent comme la faim à midi, comme le sommeil quand le soleil se
couche, comme l'envie de baiser le samedi. Elles arrivent à ce moment
parce qu'une population qui a un mode de vie similaire, une alimentation
similaire, qui vit sous un même climat développe des maladies par
cycles.

Au début de l'épidémie, j'ai lu pas mal d'article sur les modèles SIR et
SEIR. Du coup, je m'attendais à voir l'épidémie totalement disparaître
quand les mesures auraient fait tomber le taux de reproduction en
dessous de 1. J'ai été très surpris que cela ne se produise pas. Les
mesures ne semblaient pas avoir l'effet escompté sur la propagation de
la maladie. Idem l'année suivante avec les vaccins. Même avec une large
partie de la population immunisée, le taux de reproduction du virus
restait supérieur à 1.

Incroyable ça !!! Et tu as vu des morts tomber dans la rue ?

Parce qu'une pandémie, c'est ça, c'est des morts dans les rues. C'est
pas dans des chiffres à la TV, ça c'est de la propagande, c'est un mot
compliqué aussi, mais c'est pas la même chose.

Moi, j'ai traversé cinq pays en pleine pandémie, j'ai pas vu un seul
mort. J'ai jamais porté de masques (sauf par obligation, sur le menton),
je n'ai jamais désinfecté mes mains ... et je n'ai rien eu qu'on puisse
attribuer à un quelconque virus.