Re: Le rapport du Sous-comité du Congrès des USA est disponible

On 2024-12-04, Paul Aubrin <paul.aubrin@invalid.org> wrote:

Le 04/12/2024 à 02:08, beST a écrit :

Notre rôle est d'éduquer les générations futures pour qu'elles résistent
mieux que nous l'avons fait. J'ai reçu cette éducation étant gamin, j'ai
résisté (pas de test, pas de masque, pas d'injection), mais on était si
peu nombreux.

>
Personnellement, j'ai bien marché dans la propagande au début du
confinement. Je suivais les taux d'infections sur le site d'un

Je quittais Bangkok et j'arrivais à Singapour au début 2020 lorsque j'ai
vu les premières vidéos sur Youtube ou on voyait les Chinois s'effondrer
dans les rues. Déjà, je savais que c'était n'importe quoi, aucune
maladie fait tomber les gens dans la rue au moment précis ou quelqu'un
est là avec une vidéo caméra pour les enregistrer, c'est simple, ça
n'existe pas.

La suite ne m'a pas déçu, le test PCR (je connaissais depuis 2005
l'inutilité totale d'un tel test pour établir un diagnostic). À
Singapour, 30 morts sur l'année (10 fois moins que les morts causés par
des accidents de voiture), 99% des cas étaient asymptomatiques et
étaient des hommes qui travaillaient sur les chantiers, alors que les
femmes de le même classe sociale, qu'ils fréquentaient tous les week
end, n'étaient pas touchées. Age moyen des morts COVID: 79 ans et avec
co-morbidité grave dans 100% des cas.

Deux événements m'ont intrigué  : l'interdiction préfectorale de se
promener dans la forêt, avec affichage d'arrêtés déjà périmés et rondes
fréquentes de voitures de police ; et l'échec des masques d'influer sur
le taux de reproduction du virus.

Nous on avait le port du masque obligatoire à pied, mais pas à vélo,
j'ai jamais fait autant de vélo de ma vie. Je voyais la France de loin
avec l'obligation d'être assis dans les café, puis debout ... Le
ridicule atteignait des sommets partout sur la planète.

En fait, ce qui a beaucoup joué, c'est que j'avais déjà étudié le scam
du SIDA et que les méthodes sont quasiment les mêmes pour le COVID à
plus grande échelle. J'avais également lu toute la littérature de
Weston Price, Antoine Béchamps, A. Vonderplanitz ... et je savais bien
avant que la notion même d'épidémie avec un virus est douteuse.

À la rigueur, on m'aurait parlé d'une bactérie mangeuse de chair ou de
spore ... j'aurais haussé un sourcil. Mais dans les faits, les pandémies
sont bien plus souvent le fruit d'une intoxication à grande échelle,
d'un mode de vie délétère ou d'une hystérie collective que d'un
pathogène quelconque. Tout simplement parce que plus un pathogène est
dangereux et plus il est isolé rapidement, ne serait-ce que par la mort
des porteurs qui n'ont pas l'opportunité de le transmettre.


--
ST