La persistance de la protéine spike est surprenante.

https://www.globalresearch.ca/post-vaccine-brain-fog-immune-dysfunction-linked-spike-protein/5880571
Des chercheurs de l'université de Yale ont détecté la protéine spike du vaccin COVID-19 dans le sang d'au moins une personne 709 jours après la vaccination, soit un délai beaucoup plus long que celui mesuré précédemment. L'équipe de recherche a également constaté que de nombreuses personnes que l'on croyait atteintes d'un COVID long pourraient en fait souffrir d'un syndrome post-vaccinal (SPV) causé par la protéine spike des vaccins COVID-19. Les symptômes du SPV, semblables à ceux d'un COVID long, comprennent généralement un brouillard cérébral, des vertiges et des acouphènes.
Les participants à l'étude qui n'avaient jamais été infectés par le virus mais qui souffraient de PVS présentaient des niveaux "significativement plus élevés" de protéine spike circulant dans leur sang - la protéine ayant été détectée entre 26 et 709 jours après qu'ils aient reçu un vaccin COVID-19.
L'étude, cosignée par une équipe de scientifiques dirigée par trois chercheurs de l'université de Yale et publiée mardi sur le serveur de préimpression medRxiv, a également révélé que les personnes vaccinées présentaient des troubles auto-immuns, un épuisement du système immunitaire et d'autres changements biologiques après la vaccination. Dans certains cas, d'autres virus dormants dans leur organisme, tels qu'Epstein-Barr, ont été réactivés. Akiko Iwasaki, Ph.D., professeur à la faculté de médecine de Yale et l'un des principaux auteurs de l'étude, a déclaré à Yale News que la persistance de la protéine spike était "surprenante".