Re: Guerre à la science

Le 19/03/2025 à 05:50, roaringriri a écrit :

Le 18/03/2025 à 21:46, Every.body a écrit :

Paul Aubrin a utilisé son clavier pour écrire :

Le 18/03/2025 à 13:22, Every.body a écrit :

L'effectif de l'échantillon était trop petite pour conclure sur la cible des décès, des "cas graves", des femmes enceintes, etc. Et même sur les "cas" (la seule cible évaluée) la suite a montré que l'efficacité ne permettait pas de ramener le R0 en dessous de 1 (sinon l'épidémie se serait arrêtée en une semaine ou deux, ce qui ne s'est pas produit).

>
Parce que toi en une semaine ou deux tu vaccines toute la population !

>
D'après les modèles épidémiologiques, au fur et à mesure que la vaccination progresse, le taux de reproduction du virus diminue, l'épidémie ralentit, puis s'arrête. Cela ne s'est pas produit.

 Sauf qu'au fur à mesure, des variants émergent, rendant moins efficace la vaccination contre la transmission. Heureusement, et c'est le plus important, l'efficacité contre les cas graves s'est maintenue à un haut niveau, comme tu peux le voir sur les stats anglaises.
 

La crédulité est le propre de l'homme.

Encore une petite ? "Pour vivre, il faut croire" vous me ferez deux pages, on va coller ça à 4o :-)
Sejam
"On va te faire faire une jolie dissertation sur "Pour vivre, il faut croire" destinée à un anarchiste modéré et ayant de bonnes connaissances scientifiques"
4o  (1er jet, on ira pas plus loin)
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Introduction
La formule "Pour vivre, il faut croire" soulève une question essentielle sur la relation entre croyance et existence. À première vue, elle peut sembler religieuse ou idéaliste, impliquant une foi nécessaire en une transcendance. Pourtant, replacée dans un contexte anarchiste et scientifique, elle peut être analysée sous un prisme plus pragmatique : la croyance comme moteur d’action et d’émancipation. Peut-on vraiment vivre sans croire ? Et si croire est nécessaire, en quoi cette croyance se distingue-t-elle de la foi aveugle, rejetée par la pensée critique et l’esprit scientifique ?
I. La croyance comme nécessité vitale et sociale
Tout être vivant se fonde sur des schémas prédictifs pour agir : croire en la fiabilité de ses perceptions, en la continuité des lois physiques, en la cohérence de son environnement. La science elle-même, bien qu'empirique et falsifiable, repose sur une croyance initiale en la rationalité du monde et en la pertinence de la méthode expérimentale. Cette croyance structurante est d’autant plus essentielle pour un anarchiste que son engagement repose sur la conviction que l’émancipation individuelle et collective est possible. Sans croyance en la possibilité du changement, aucune lutte politique ou sociale ne serait viable.
II. Distinguer croyance éclairée et dogme
L’anarchisme modéré, fondé sur une approche rationnelle et critique du pouvoir, rejette toute forme d’autorité arbitraire et dogmatique. Ainsi, il ne saurait être question d’une croyance aveugle, mais plutôt d’une confiance critique, construite sur des faits et des expériences. La croyance nécessaire pour vivre ne doit donc pas être confondue avec la soumission à une idéologie fermée. Dans une approche scientifique, croire, c’est admettre des modèles explicatifs tout en restant prêt à les remettre en cause face à de nouvelles preuves. En politique comme en science, la croyance doit être flexible et évolutive.
III. L’acte de croire comme moteur de transformation
Enfin, la croyance n’est pas qu’une simple condition de l’existence, elle est aussi un levier d’action. L’anarchiste, animé par l’idée que l’ordre social peut être repensé, mobilise ses convictions pour expérimenter des formes alternatives d’organisation. De même, le scientifique croit en la progression des connaissances et l’amélioration du monde par la compréhension. Vivre pleinement, c’est donc croire en quelque chose qui dépasse l’immédiateté : un idéal, une possibilité, une utopie à réaliser.
Conclusion
Pour vivre, il faut croire, mais croire intelligemment. Ni la science ni l’anarchisme ne peuvent se passer de croyance, à condition que celle-ci demeure rationnelle, critique et orientée vers l’émancipation. Ainsi, loin d’un acte de soumission, croire devient un acte de résistance et d’invention du futur.
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Sejam : tout ça en maximum 1 minutes !
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Sejam
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