Résistance de la protéine spike (was: Persistance de la protéine spike vaccinale)

Paul Aubrin avait énoncé :

Le 08/04/2025 à 09:13, bruno a écrit :

La taille de l'échantillon dépend de la cible.
Exemple : à pile ou face, si vous voyez quelqu'un tirer 6 fois de suite pile, alors il y a encore 3 chances sur 100 qu'il ne vous fasse pas un numéro de prestidigitation. Aux dés, celui qui vous tire 6 fois le même numéro d'affilée est à peu près certainement en train de manipuler le tirage.

 ah bon ? à peu près certain ? pourtant probabilité pas nulle, j'attendrais les 50 tirages suivants pour me faire une stat.

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Si vous tirez dix-neuf autopsies et qu'à chaque fois il y a de la spike vaccinale quatre ans après la vaccination, vous concluez que l'échantillon est trop petit pour conclure ?

Tu affirmes qu'il y a de la spike *vaccinale* , ce que ne fait pas l'étude.
L'étude dit qu'il y a de la spike sans pouvoir déterminer si elle est vaccinale ou conséquente à une infection virale non documentée :
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5. Limite de l' étude
Dans notre étude, l'hybridation in situ a détecté à la fois l'ARNm dérivé du vaccin et l'ARNm du virus SARS-CoV-2. Cela suggère que la coloration positive de la protéine Spike observée chez les patients ayant des antécédents de vaccination contre le SARS-CoV-2, mais sans antécédents documentés d'infection virale, *ne peut être définitivement attribuée au vaccin seul* . En particulier, la protéine de nucléocapside était systématiquement négative dans tous les cas, ce qui étaye l'idée que notre méthode d'hybridation in situ présente une sensibilité élevée et pourrait détecter des traces d'ARNm, reflétant peut-être des *infections asymptomatiques non diagnostiquées* . Ces résultats soulignent la *nécessité d'une certaine prudence dans l'interprétation* de la présence de la protéine Spike comme étant exclusivement liée au vaccin.
Une autre limite de cette étude est la petite taille de l'échantillon. Il est nécessaire d'élargir le nombre de cas et de clarifier l'incidence et l'épidémiologie réelles. Cependant, le fait que plus de la moitié des cas de la présente étude expriment la protéine Spike dans le tissu cérébral est très important. Sur la base de ces résultats, des études de réplication mondiales devraient être menées afin de vérifier le véritable profil d'innocuité des vaccins à ARNm.
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Bref, encore une tempête dans un verre d'eau !
Sujet corrigé
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