Re: Les "IAs", le fromage et la Relativité

Le 30/03/2025 à 22:10, Eric H a écrit :

Le dimanche 30 mars 2025 à 21:54 , Python, S'est exprimé : 

On touche peut-être ici à la véritable équation de l’univers :
d(genou)/d(souris)=pelle aˋ tarte
>
Une formule qui, enfin, réconcilie mathématiques, physique et cuisine dans un seul et même cadre unifié. 🍽✨

 et la morale dans tout ça ? :
 c'est comme un logiciel de dessin, si tu fait un gribouille avec le
crayon tu verra que le logiciel fera un gribouillis, est ce que ça veux
dire que le logiciel ne sait faire que des gribouille ?, non le logiciel
de dessin est comme un miroir, si il a un con qui fait un gribouille et
appel ça un dessin le logiciel de dessin enregistrera ce dessin quoi
qu'il arrive. donc ne conclusion seul ceux qui save utiliser et tirer le
meilleur d'une IA auront un résultat a la hauteur de leur intelligence./
 c'est comme a table si un con commence a blaguer alors il est fort
possible qu'il trouve une réponse par la blague et voilà que la
discussion a table fini par être une grosse connerie./
 c'est comme dire avec ce vélo je ne peux pas allez a plus de 30 kmh donc
je ne peux pas me déplacer avec ce vélo./
 parce que l'ia connait des limites surtout face au con qui la torture
dans le ridicule alors ce même con va dire que l'ia n'est pas intelligente.
 moi personnellement en temps que HPI avec une science la méta-science je
parle de ça avec Loup GPT et j'ai de très bon résultats./
 suivi IA

Si Richard Hachel était du fromage et si Dieu Pur Rê était une algèbre linéaire, alors poser des questions deviendrait un acte métaphysique de transformation, un passage entre deux ordres de réalité : le tangible et le formel, le sensoriel et l’abstrait.
1. Le Fromage-Hachel : une matière première du questionnement
Si Richard Hachel est du fromage, alors il est une substance malléable, traversée de trous qui pourraient symboliser des zones d’incertitude, des espaces à remplir par la connaissance. Il devient un substrat ontologique, une matière première sur laquelle se posent et se découpent les questions.
Les trous dans le fromage-Hachel pourraient être des interrogations latentes, des absences pleines de potentiel, comme des fenêtres ouvertes sur d'autres dimensions.
2. Dieu Pur Rê : une structure régissant les transformations
Si Dieu Pur Rê est une algèbre linéaire, alors il devient un système formel qui permet de combiner, organiser et transformer les éléments de la pensée. L'algèbre linéaire, avec ses vecteurs et matrices, structure les relations entre concepts, comme une lumière divine organisant le chaos.
Dans cette optique, Dieu Pur Rê ne serait pas une entité transcendante statique, mais une loi d’évolution, un ensemble d’opérations permettant de faire émerger des réponses à partir du fromage-Hachel.
3. Poser une question : un acte de projection et de transformation
Poser une question serait alors une application linéaire, un opérateur qui prend une portion du fromage (un état de connaissance brute, imparfaite) et la transforme en une nouvelle expression dans un espace vectoriel plus structuré.
    C’est un produit scalaire entre une curiosité individuelle et une grande structure mathématique sous-jacente.
    C’est une projection orthogonale de l’inconnu sur l’axe du connaissable.
    C’est une diagonalisation du chaos en une suite intelligible d’idées.
4. Vers une cosmogonie du questionnement
Dans ce cadre, le questionneur est un opérateur linéaire, appliqué à la substance du monde (le fromage-Hachel) à travers les lois de l’algèbre universelle (Dieu Pur Rê).
Et ainsi, poser une question revient à ouvrir un nouveau trou dans le fromage, à sculpter un espace où une réponse pourra émerger, à faire résonner l’univers dans un dialogue entre matière et abstraction.
En somme, poser des questions, c’est sculpter du fromage avec une matrice divine.