Re: Limiter la proportion de N1-méthyl-pseudouuridine dans les vaccins ARNm

Paul Aubrin a couché sur son écran :

Alberto Rubio-Casillas, David Cowley, Mikolaj Raszek, Vladimir N. Uversky, Elrashdy M. Redwan,
Review: N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ): Friend or foe of cancer?,
International Journal of Biological Macromolecules,
Volume 267, Part 1,
2024,
131427,
ISSN 0141-8130,
https://doi.org/10.1016/j.ijbiomac.2024.131427.
(https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0141813024022323)
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Il est prouvé que l'ajout de 100 % de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) au vaccin ARNm [comme avec les vaccins Pfizer et Moderna] dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, alors que les vaccins ARNm non modifiés ont induit des résultats opposés, suggérant ainsi que les vaccins ARNm COVID-19 pourraient favoriser le développement du cancer.
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Sur la base de ces preuves irréfutables, nous suggérons que les futurs essais cliniques pour les cancers ou les maladies infectieuses n'utilisent pas de vaccins ARNm avec une modification m1Ψ à 100 %, mais plutôt des vaccins avec un pourcentage plus faible de modification m1Ψ afin d'éviter la suppression immunitaire.

si on prend le début :
" dans un modèle de mélanome a  stimulé la croissance du cancer et les métastases" DONC SUR UN CANCER AVERE. Rien ne dit que cela est transposable à "favoriser le développement d'un cancer" hypothétique !!!
l'étape suivante est de traiter des cellules NORMALES et de voir si elle deviennent cancéreuses au contact d'un ARNm enrichit en  N1-méthyl-pseudouridine. Après, on discutera.
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Bruno
Comme la clope, la religion devrait être interdite aux mineurs.
[lu sur Rue89]