Re: Risques cardiovasculaires post COVID

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Sujet : Re: Risques cardiovasculaires post COVID
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.misc.actualite.covid19
Date : 15. Nov 2022, 11:18:05
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Organisation : A noiseless patient Spider
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References : 1
User-Agent : Mozilla/5.0 (X11; Linux x86_64; rv:102.0) Gecko/20100101 Thunderbird/102.4.2
Le 15/11/2022 à 11:04, Olivier@ a écrit :
Où on observe une *augmentation très sigificative* des complications cardiaques post COVID.
On note une augmentation significative surtout chez les vaccinés. La protéine spike du vaccin est plus nocive que celle du virus.
https://doi.org/10.1111/eci.13759
Résumé
Contexte : Les garçons âgés de 12 à 17 ans présentent un risque élevé de myo/péricardite associée à la vaccination à ARNm. Une analyse des risques et des avantages de la première et de la deuxième dose de la vaccination à ARNm chez les garçons adolescents en fonction de l'état de santé et des antécédents d'infection par le SRAS-CoV-2 n'a pas été réalisée.
Méthodes : En utilisant le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), nous avons identifié les cas de myo/péricardite dus au BNT162b2 [Pfizer-BioNTech] selon les critères des CDC. Les principaux résultats étaient les suivants : 1) incidence brute de la myo/péricardite post-vaccinale chez les adolescents âgés de 12-15 et 16-17 ans ; et 2) deux analyses risque-bénéfice par âge, sexe, comorbidité, variante et antécédents d'infection.
Résultats : Les cas de myo/péricardite (n = 253) comprenaient 129 après la dose 1 et 124 après la dose 2 ; 86,9% ont été hospitalisés. L'incidence par million après la dose 2 chez les patients de sexe masculin âgés de 12-15 ans et de 16-17 ans était de 162,2 et 93,0, respectivement. En mettant en balance la myo/péricardite post-vaccinale et l'hospitalisation due au COVID-19 pendant le delta, notre analyse risque-bénéfice suggère que chez les 12-17 ans, la vaccination à deux doses n'était uniformément favorable que chez les filles non immunes et présentant une comorbidité. Chez les garçons avec une infection antérieure et sans comorbidité, même une seule dose comportait plus de risques que de bénéfices selon les estimations internationales. Dans le cadre de l'omicron, une dose peut être protectrice chez les enfants non immunisés, mais la deuxième dose ne semble pas apporter de bénéfice supplémentaire au niveau de la population.
Conclusions : Nos résultats soutiennent fortement les stratégies pédiatriques individualisées de vaccination contre le COVID-19 qui mettent en balance la protection contre les maladies graves et les risques de myo/péricardite associés au vaccin. Des recherches sont nécessaires sur la nature et les implications de cet effet indésirable ainsi que sur les stratégies de vaccination qui réduisent les inconvénients dans cette cohorte globale à faible risque.

Date Sujet#  Auteur
13 Jul 25 o 

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