Re: Trois générations et qu'en restera-t-il ? Pas grand-chose

Le 02/03/2023 à 11:13, Ghost-Raider a écrit :

Le 02/03/2023 à 01:34, Alf92 a écrit :

Ghost-Raider (le 01/03/2023 à 20:54:46) :

Le 01/03/2023 à 19:54, efji a écrit :

Le 01/03/2023 à 19:26, Alf92 a écrit :

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La  petite grosse qui a un goitre dans le première photo, qui est-ce ?
Et les deux qui l'entourent ?

>
Jane Birkin
https://www.plexusrecords.com/upload/image/histoire-de-melody-nelson-p-image-106757-grande.jpg

  Je ne connaissais pas non plus. Je viens de l'écouter. C'est bien du
Gainsbourg, on n'entend rien et les paroles sont ambiguës comme dans
cette histoire de zeste de citron.
Mouais...
Je n'ai jamais compris ce qu'on pouvait bien lui trouver.
 Retour en charrette :
https://www.cjoint.com/doc/23_03/MCckmeuMiV4_IMG20220430145807-001.jpg
 

Je persiste et je signe : Serge Gainsbourg est le plus grand plagiaire que la terre ait porté, car il ne créditait pas les auteurs d'origine et s'appropriait leurs œuvres.
https://mediamus.blogspot.com/2012/08/les-melodies-de-gainsbourg-empruntees.html
Là, il n'y en a que 8, mais il y en a une foultitude d'autres.
Il a aussi pompé ailleurs que dans le classique :
http://www.musicfeelings.net/2015/06/focus-faites-accuse-serge-gainsbourg-et-ses-plagiats-dartistes-africains/
On peut se demander s'il a jamais écrit une seule note lui-même.
Là où il était malin, le bougre, c'est qu'en général, il  faut bien connaître les œuvres originales pour les repérer dans les chansons de Gainsbourg et les ignorants qui n'ont pas été biberonnés au classique crient au génie.
Mais parfois, ça crève les oreilles, comme dans la reprise de la "Chanson de Solveig" de Grieg.
L'original:
https://youtu.be/R8AD75_sNJM
Le plagiat :
https://www.youtube.com/watch?v=ep2y6KMbC98
Quand aux harmonisations, les accords arpégés de cette chanson : "Love song" sont du niveau d'une classe élémentaire d'harmonie d'un conservatoire de province.
Mais il y a pire.
Prenons encore la "Chanson de Solveig" de l'opéra de Grieg "Peer Gynt".
Dans cette chanson, qui est une pièce centrale de cet opéra, Solveig, qui a été abandonnée par son bien-aimé pour courir le monde, chante son amour jamais éteint et sa certitude, qui sera réalisée au terme de sa vie, que Peer Gynt va lui revenir et qu'ils seront réunis pour toujours.
C'est une chanson d'espoir réalisé.
Et qu'en a fait Gainsbourg ?
Une chanson d'abandon et d'amour perdu.
En moins de 5 minutes, Gainsbourg dénature la signification d'un des plus grands opéras du répertoire.
Par ailleurs, je trouve les textes de Gainsbourg d'une indicible pauvreté. C'est de la poésie de roman de gare.
Gainsbourg était  un coucou, il fait partie de ces personnages que Jean-Edern Hallier qualifiait de "fausses valeurs"'.
Alors, si on veut vraiment entendre de la poésie (Francis Jammes) chantée par un créateur (Georges Brassens) on peut écouter La Prière.
https://www.youtube.com/watch?v=m-tzZ5IVWeI
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J'ai beau faire, tout m'intéresse. (Paul Valéry)