Re: Bonjour les amis.

Le 06/02/2025 à 18:28, Richard Hachel a écrit :

Voilà de très nombreuses années que je ne fais plus de photos (hormis
avec un petit Sony à 60 euros qui fait des photos meilleures que certains
appareil argentiques des années 1980).
 Alors si je suis devenu une référence dans les domaines philosophiques,
politiques, criminologiques, scientifiques, politiques, voire
mathématiques (je vais bientôt être obligé d'apprendre les
mathématiques à efji rendez-vous compte), j'avoue qu'en photo, même si
je suis subjugué par cet art, je suis plutôt un gros nul.
Presque une merde.
 Alors je pose la question : il y a bien longtemps, je m'étonnais de la
course aux pixels par rapport à la course à la sensibilité. Mais
c'était il y a très longtemps, du temps où l'on ne faisait pas de photo
de plus de 3 millions de pixels.
 Je trouvais la définition très correcte, même au zoom. Même avec un
très bas de gamme.
 Alors pourquoi une course au pixels dans le sens où de toute façon,
l'oeil humain ne pouvait pas en voir plus?
 Par contre, la sensibilité, c'était quelque chose d'assez dégueulasse,
et je conseillais pas de faire des photos dans sa cave ou au soleil
couchant.
 Les choses se sont elles nettement améliorées?
 

Il n'échappera pas à votre Grandeur que ce sont des problèmes différents.
La course aux pixels n'est limitée que par l'évolution de la technique alors que les lois de la sensibilité dépendent des lois de la lumière sur lesquelles nous n'avons pas de prise.
Ça fait des années que je clame sur tous les toits dans le désert que 3 MP sont suffisants mais les photographes crédules pensent être grandis en clamant qu'ils ont 20, 25, 50 MP (nouveau Leica). C'est une satisfaction narcissique.
Relire à ce propos "La violence et le sacré" de René Girard qui théorise le désir mimétique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sir_mim%C3%A9tique