Re: limites de conservation au congelateur

Le 19/03/2024 à 10:51, François Guillet a écrit :

robby a formulé ce vendredi :

attention: ne pas confondre "je ne sais pas" (ni tes contradictoires) avec "cette information n'existe pas".

C'est la raison pour laquelle j'ai déjà demandé les études scientifiques à l'appui du risque de décongélation/recongélation, et que personne n'a été foutu d'en fournir,

et pour la bonne durée et fréquence de lavage des dents, tu les connais les articles en soutien ?
et pour le ratio coup-bénéfice de la ceinture de sécurité ou limites de vitesses dans les diverses situations ?
et pour le bienfondé de la vaccination de la rougeole, ou pour d'autre vaccins, le taux visé de couverture vaccinale ?
et la fréquence recommandé de changement de l'huile, pneux, etc, ou la pertinence de telle mesure d'usure ?
Bref, oui, en soit c'est légitime de demander, et d'ailleurs la réponse m'interesse.
Par contre exiger de tes interlocuteurs non-spécialistes qu'ils te les fournissent, alors que toi même tu ne saurais pas répondre pour les mesures et norme de sécurité que tu agrée, ne semble pas équilibré.
Alors que ça ne parait pas démentiel de penser que les toxicologues connaissent leur métier, comme les physiciens le leur. ( Au détail près qu'il y a un décalage entre les autorités qui choisissent les seuils, sur la base de plein de considérations, et les toxicologues qui se contentent d'étudier la dangerosité (multicritère) de tel ou tel produit ).
Quant a ce que tu as entenu ou non dans les médias:
rappelons que les médias parlent surtout de ce qui est *rare* !
Des intoxications alimentaires, il y en a plein ! Des mortelles, je ne crois pas, mais je n'en sais rien (cela dit rien que chez les cueilleurs de champignons: sur 4 mois en 2017, 1179 cas signalés aux centres antipoisons dont 32 graves https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/cp-_intoxschampignons_v201017_16h30.pdf  ).
Enfin, c'est la mode d'etre spécialement intolérant envers les fabricants ou distributeurs / restaurateurs et d'ignorer les amateurs, alors que les normes qui contraignent les 1ers sont énorme. Mais il faut voir que 3 enfants vomissent, et on ferme une entreprise au moins provisoirement, avec force couverture médiatique: il y a disproportion entre le nombre de victimes et le fait d'être traité ou non dans les médias. Bref, la couverture médiatique n'est *jamais* une indication de fréquence d'occurence réelle.
--
Fabrice