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Le 09/07/2022 22:27, Julien Arlandis m'a répondu :Merci pour cette analyse, cela rejoint mon intuition que je n'avais pas autant formalisée. Paradoxalement, il est même probable que la touche était présente sur les premiers claviers dès 1980 et qu'elle se soit effacée à partir de 83 au profit des touches * et #.Ça semble plutôt logique. Les touches astérisque et croisillon ne semblent- des versions à clavier (mais toujours à numérotation décimale) apparaissent en 1978 et sont déployés à partir de 1981 ;Merci pour ces recherches. Il semblerait que la fonctionnalité BIS ait existé avant l'introduction des touches télématiques * et # apparues en 83 je crois bien.
- le modèle à fréquences vocales DTMF apparaît en 1982.
pas avoir d'intérêt sans fréquences vocales, contrairement à la touche
pause P.
On pourrait alors imaginer que lorsque les premiers modèles à clavier sont
apparus en 1978, plutôt qu'un nombre premier de touches (11), les ingénieurs
aient eu l'idée d'une 12e touche Bis pour faire un joli rectangle 3×4. Ça
semble même très logique, puisque par principe les touches doivent avoir une
mémoire (on ne demandait pas à l'utilisateur tapant sur 0 d'attendre les dix
clics avant de taper une autre touche, et c'est aussi la raison d'être de
la touche P). Ayant une mémoire, il n'était pas difficile d'implémenter la
touche Bis.
Par conséquent, même si le commun des mortels n'avait pas ce téléphone dès
1978, c'est tout à fait possible à partir de 1981.
Intéressant.Par curiosité, Julien, pourquoi cherches-tu cette information ?À mes heures perdues je m'intéresse à certains cold cases, ici une affaire de corbeaux avec un interlocuteur enregistré par son correspondant qui ne parait pas savoir qui il est en train d'appeler. D'où mon interrogation sur l'usage de la touche BIS, on est en 1982 dans les Vosges.
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