Re: NON

Le 26 août 2022 à 14:27, Marc SCHAEFER d'un élan de joie s'exprima
ainsi :

"Benoît L." <benoit@leraillez.com.invalid> wrote:

* Je suis prêt à parier que la baisse de la natalité sera ± compensée
par l'immigration.

>
Inévitable, sauf robotisation implacable ou perte de niveau de vie.
>
C'est déjà le problème de l'Allemagne aujourd'hui: sans les migrants,
pas d'économie.  Rappelons que BioNTech, la startup à l'origine du
vaccin Pfizer a été fondé par des Turcs vivant en Allemagne.

Alors comment baisse-t’on la population de 50% ? Qui sont donc ces
banquiers prévisionnistes ?

Fin de l’article :
Mais selon les spécialistes, l'étude diffusée par HSBC n'est qu'un point
de vue qui n'engage que ses auteurs. «Dire que la pandémie va changer
durablement les comportements féconds est une opinion. Mais ce n'est pas
ce que l'on observe pour le moment. Selon les dernières données, la
baisse des naissances pendant la pandémie ne serait que temporaire, et
reviendrait déjà à son niveau d'avant crise», explique à son tour Gilles
Pison.

«Rappelons une chose essentielle : les projections démographiques* ne
sont pas un exercice scientifique, mais intellectuel, explique Laurent
Chalard. La majorité de personnes qui vivront en 2100 ne sont pas encore
nées, il est donc extrêmement difficile de prévoir les comportements à
un horizon aussi lointain. Il s'agit d'être prudent face à ce qui reste
de simples hypothèses», fait valoir le géographe. «Il y a trente ou
quarante ans, on pouvait voir des études dans le sens contraire,
prédisant une augmentation exponentielle de la population humaine.
Certaines évoquaient jusqu'à 40 milliards dès le siècle prochain! Ici, à
moins d'une catastrophe naturelle, d'une météorite ou d'une guerre
nucléaire, le scénario de 4 milliards d'habitants ne me paraît pas
crédible du tout».


* Tel le climat.

--
Benoît
En essayant continuellement on finit par réussir.
Donc, plus ça rate, plus on a des chances que ça marche.
(Jacques Rouxel)