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Le 18/05/2025 à 23:22, Samuel Devulder a écrit :La grosse différence entre H et les savant du 15e siècle, c'est que même s'ils étaient troublés par les nombres négatifs ou des nombres mis au carré qui sont négatifs, il n'en inventaient pas pour autant des élucubrations sans queue ni tête dont la cohérence interne s'effondre en une ligne. Si on leur avait montré juste le début d'un cours sur les nombres complexes ils en auraient été immédiatement émerveillés, comme toute personne munie d'un QI supérieur à 50.se comporte comme les "savants/érudits/intellectuels" du 15e siècleMarrant, je m'étais fait une remarque similaire, mais étendue à des philosophes bien plus récents. Je me suis farci l'éthique, et maintenant la critique de la raison pure, et je suis frappé par la manie qu'ils ont de poser des définitions et des axiomes parfaitement injustifiés, et de disserter à l'infini sur leurs conséquences.
Les siècles de philosophie scolastique ne se sont pas perdus à la faveur de la Renaissance. Bien sûr les maths reposent aussi sur des définitions et des axiomes
injustifiés, et les logiciens ne se privent pas de mettre en question ces fondements,
Mais en fait les contradictions ne se sont toujours pas manifestées.
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