Re: Racines d'une équation quadratique

Le 19/05/2025 à 10:42, Michel Talon a écrit :

Le 18/05/2025 à 23:22, Samuel Devulder a écrit :

se comporte comme les "savants/érudits/intellectuels" du 15e siècle

 Marrant, je m'étais fait une remarque similaire, mais étendue à des philosophes bien plus récents.  Je me suis farci l'éthique, et maintenant la critique de la raison pure, et je suis frappé par la manie qu'ils ont de poser des définitions et des axiomes parfaitement injustifiés, et de disserter à l'infini sur leurs conséquences.
Les siècles de philosophie scolastique ne se sont pas perdus à la faveur de la Renaissance.  Bien sûr les maths reposent aussi sur des définitions et des axiomes
injustifiés, et les logiciens ne se privent pas de mettre en question ces fondements,
Mais en fait les contradictions ne se sont toujours pas manifestées.

Les contradictions que j'ai posées sur la théorie de la relativité restreinte (explication complète de tous les paradoxes) sont manifestées à l'évidence pour quiconque veut bien les regarder et les comprendre. Quarante ans de réflexion dans vos gueule quand même.
Même chose pour ce qui touche les bases du judéo-christianisme. Pareil quarante ans de réflexion sur les dogmes, les textes (français, latin, grecs, coptes). Mais toujours, toujours, un phénomène très freudien va apparaitre chez les crétins qui composent
95% de l'humanité lorsque Hachel parle: la grosseur de leur bite. Ils frissonnent. L'immonde narcissisme qui les caractérisent quand ils parlent de leur science par eux-mêmes. Ils ne parlent que pour parler et pour qu'on les écoute. C'est un phénomène gravitationnel : tout retombe, toujours, toujours, toujours sur leur bite.
"Nous ne voulons pas qu'Hachel parle, il faut le ridiculiser, le censurer (ce fut parfois du fort),
il ne faudrait pas qu'on sache qu'il a une bite plus grosse que la nôtre".
Je vous supplie de ne pas rire, les amis, ce n'est pas drôle du tout. On ne cherche pas à savoir si ce qu'il dit est vrai. Paaaaas du tout. On cherche à montrer par tous les moyens possibles qu'il est un crétin, qu'il a tort, et qu'il empeste l'air.
Toujours, toujours, le même phénomène se reproduit (ici forums après forums).
C'est un comportement de malade qui renvoie à l'un des meilleurs auteurs de la théologie et de la philosophie de l'histoire de l'humanité : Jésus-Christ. Il ne rigolait pas Jésus-Chrit, et il leur mettait les choses droit dans la gueule : "Mais vous êtes de véritables malades les mecs, et vous avez sacrement besoin d'un bon médecin". C'est marqué dans le texte. Il ne cessait de dire que c'était eux qui avaient un problème, et pas lui. Il a fini par avoir un accident de moto Jésus, sniffff... Comme Coluche.  Maintenant, tu me parles de Kant, et de la critique de la raison pure. Tu en retiens quoi de ce que raconte le grand chinois de Konisberg? Il faut lire des gens qui écrivent avec un style coulant, clair, mais avec des idées profondes.
Nietzsche (le Zarathoustra qui n'est pas un texte hautement poétique comme un crétin l'a signalé, mais un code allégorique), Berkeley (et sa critique féroce des idées abstraites à la con), Sartre (sur la nature du Néant sécrété à la surface de l'Etre), Pascal (sur ses pensées judéo-chrétiennes en sachant qu'il cache des choses comme par exemple lorsqu'il dit que Jésus n'est pas de Nazareth, et que son père n'est pas Joseph, mais sans vouloir aller plus loin, de peur de faire effondrer une institution tout de même nécessaire, ou lorsqu'il parle de deux généalogies qui ne s'entendent pas, montrant ainsi qu'il y a de réels asticots dans le pain de vie). Ca te fait quatre livres célèbres à lire, remplies de choses lisibles mais souvent profondes.
R.H.