Sujet : Re: e^iθ
De : r.hachel (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.mathsDate : 30. May 2025, 16:33:16
Autres entêtes
Organisation : Nemoweb
Message-ID : <t-2_QVUYd1vM-iLUp3j5gsZZ-w0@jntp>
References : 1 2 3 4
User-Agent : Nemo/1.0
Le 30/05/2025 à 14:37, Python a écrit :
Le 30/05/2025 à 14:03, Richard Hachel a écrit :
Le 30/05/2025 à 13:36, efji a écrit :
Tu ne visualises aucune racine hors du domaine réel, tu visualises les racine d'une autre fonction dont les racines n'ont aucun rapport avec la fonction d'origine
Aucun rapport, c'est vite dit. Tu sais très bien qu'il y a un rapport entre la fonction f(x) quelle qu'elle soit et la fonction g(x) telle que définie en symétrie de point $. Et c'est universel ça marche pour toutes les fonctions possibles et imaginables.
Aucun rapport entre f(x) et g(x), dis-tu.
Mais je sais que tu mens.
le tout selon une transformation qui change en fonction de l'âge du capitaine (un coup symétrie ponctuelle, une autre fois axiale).
Revoyons historiquement les choses. Au départ, il fallait trouver les racines "complexes" correctes.
Il semble que les mathématiciens pratiquent selon la symétrie axiale. Mais ça ne marche pas. Il m'a donc fallu chercher ailleurs, et pour toutes les fonctions possibles et imaginables, et pas simplement des fonctions quadratiques à la con de type f(x)=x²+2x+1.
Or, en introduisant e^x, Log x, sqrt(x), x^4+4x^3+8x²+9, etc... on se rend compte que ça marche à la perfection, et que toute les fonctions ont un miroir de point $, et donc que toutes ont des racines, même f(x)=e^x dont la racine imaginaire est i.Log2 puisque -Log2 est la racine réelle de g(x). Donc ne dit pas qu'entre f(x) et g(x), il n'y a pas de rapport. R.H.