Sujet : Re: Etude des nombres complexes
De : r.hachel (at) *nospam* liscati.fr.invalid (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.mathsDate : 24. Jan 2025, 18:12:33
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Le 24/01/2025 à 17:13, MAIxxxx a écrit :
Le 24/01/2025 à 16:40, Richard Hachel a écrit :
Le 24/01/2025 à 14:04, Python a écrit :
Soyons sérieux.
Bah oui, ce serait bien.
Étudiez donc alors la Relativité Complexe de Charon si vous
voulez vous accrocher - le formalisme est assez rébarbatif et vous séduira
peut-être.
Quand au temps lui-même ce serai donc bien une variable "imaginaire" qui mesure
la distance (?) en un point xyz à l'instant t et l'instant t+x.
Les coordonnées ordinaires seraient donc x,y,z, ict et n'en parlons plus.
(Einstein pensait que l'introduction des complexes était pure fiction formelle
et n'avait rien de "physique" mais...)
Il n'est nul besoin de la notion de nombre complexe pour bien comprendre la relativité, et même la notion d'intégration est totalement inutile (pire elle est fausse, voire mon grief contre Paul B Andersen dans son étude des référentiels accélérés). Pour ce qui est de la RR, tout peut être décrit avec une mathématique de niveau lycée. Racine carrées, carré, sinus, cosinus, accélération (pour les référentiels accélérés), vitesse angulaire (pour les référentiels tournants). Terminé. Rien de plus. Pas même un logarithme. Mais avec une vision très pointues des concepts qu'on enseigne (là difficulté est dans les concepts,
non dans les mathématiques extrêmement simples).
La progression pour bien comprendre s'effectue en trois phases.
- D'abord la compréhension de la notion d'anisochronie, et d'hyperplan relatif de simultanéité.
Beaucoup ne comprennent pas le concept, et ont juste appris la notion de relativité de la chronotropie.
La notion est vraie, mais insuffisante. - Deuxièmement, la différence précise et bien comprise entre vitesse réelle, observable et apparente ; ainsi que toutes les équations de la physique relativiste dans les référentiels accélérés (totalement fantaisistes sur les temps propres et les vitesses instantanées). - Troisièmement, la pointe extrême, très difficile à intégrer (apparemment personne ne comprend, ce qui autorise des tas de crétins à me traiter de troll) qui est l'élasticité spatiale, dont la géométrie est basée sur la métrique que j'ai donnée et non pas sur un simple L'=L.sqrt(1-v²/c²) enseigné par les physiciens qui se pensent les maîtres du bloc minkowskien à la con.
Je sais pas ce que pensait Einstein, (pour moi, le plus grand c'est Poincaré, un génie de l'humanité comparé au bébé Einstein qui avait surtout des talents de copiste depuis son passage au bureau des brevets de Berne) mais s'il pensait que les nombres complexes ne servaient à rien pour la RR, il est évident que je ne contredis pas. R.H.