Re: Qu'est ce que i? YESSSSS!!!!

Le 09/02/2025 à 02:13, efji a écrit :

Le 08/02/2025 à 23:46, Richard Hachel a écrit :

Mais ce ne sont que des querelles de NOTATIONS, pas de DEFINITION.

 C'est ce qui est dommage, qu'il n'y ait pas de querelles de définition.
 Je ne connais pas beaucoup de sciences ou de matières où il y a des querelles de définition,
en général, les gens s'entendent sur les termes.  Par contre, il y a trois matières bien précises, où justement, on ne s'entend pas très bien sur les termes, et les définitions, et comme c'est une sorte de dada pour moi, je suis forcément tombé dedans comme Obélix étant petit.
 - Les termes religieux (ou plus personne ne comprends plus rien)
 - Les termes relativistes (tout est très mal dit)
 - Les termes mathématiques au niveau des nombres complexes (de quoi parle-t-on)
 Pour les complexes, je vois que les définitions ne sont pas très claires, voire fausses.
 Peut-être pourrait-on mieux définir ou redéfinir, mais vu le concours de trilili très freudien, c'est assez mal barré.  Pour ce qui est des termes relativistes, beaucoup de termes sont obscurs, ou mal assuré, j'en ai critiqué pas mal (mais on m'a dit que je voulais refaire le monde).  Exemple : effet Doppler transversal. J'ai dit que c'était très mal dénommé, car l'étudiant mal renseigné, croit qu'il se passe là quelque chose, et que cet effet n'existe pas en longitudinal. Effet Doppler interne semble largement plus approprié. Dilatation des temps (là encore c'est très mal dit): il faut dire dilatation des chronotropies. Ce qui n'est pas la même chose, car un temps peut se contracter (pour quiconque suit un peu le sujet, Stella, par exemple revient plus jeune que son frère, elle en a 18, lui 30, et pour elle le temps de son frère, au moins dans une partie de son parcours, s'est considérablement contracté).  Oui, il y a beaucoup de "brouillard des mots", un peu partout, et les hommes en sont souvent très friands. Ce qui est étrange.
 Etrange aussi que ce soit moi qui, le plus souvent sois accusé de ce mal.
 Mais nous divergeons de l'étude des complexes.
R.H.