De la nature de i.
Sujet : De la nature de i.
De : r.hachel (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.mathsDate : 14. May 2025, 15:33:43
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Je disais que les mathématiciens, au lieu de donner un étriqué i²=-1 sans vraiment expliquer pourquoi,
auraient du proposer une vision plus vaste, mieux expliquée, plus concrète (ça aurait évité qu'Elisabeth Borne, une macroniste à la con, la ramène en disant que les filles ont plus de mal en maths) des nombres imaginaires. J'ai proposé la nouvelle vision suivante.
On imagine une rotation de 180° du plan cartésien (qui reste toujours chez l'immense Hachel, c'est moi, un plan bidimensionnel, sans que j'y colle une troisième dimension à la con).
Je sais que cela fait chier dans leur froc et crever de jalousie quelques crétins, toujours les mêmes,
qui ne comprenant rien, mais rien du tout des raisonnements, se croient autorisés à m'insulter. Quelle belle bande de tarés, les hommes.
Cela se traduit directement par le dogme suivant : i est une entité imaginaire (je n'ai pas dit nombre car c'est aussi une opération) telle que pour tout x, on a i^x=-1.
i n'est pas l'opposé de 1, ni le contraire de 1, il en est l'antithèse.
J'ai noté, c'est rigolo, que si je place i à la place de x, soit i^i, j'obtiens encore -1.
En (i^i)^i=-1
En miroir de ce qu'il se passe pour (1^1)^1=1 Posons i^(-i), que se passe-t-il? On a i^(1)=i=-1.
Il semble donc, dites moi si je me trompe, que le signe de l'exposant i, ne change rien du tout, et que par exemple a^ix = a^(-ix)
Autre chose x^(5i)=(x^5)^i=(x^i)^5. Ce qui n'était pas évident a priori, car il faut prendre les notions imaginaires avec des pincettes, au contraire de Python et de efji, qui ne se posent pas de problèmes d'éthique mathématique.
Pour eux, i^4=1.
Ils suivent bêtement une logique mathématique mal ficelée dès le départ. N.B. Attention, je ne contredis pas les lois trigonométrique de Gauss, Argand, et Euler. Je parle d'autre chose. Je parle des nombres imaginaires purs, et pas des nombres "complexes" utiles en électricité. R.H.
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