Liste des Groupes | Revenir à fs maths |
Le 19/05/2025 à 15:20, Python a écrit :Le propre d'un calcul est qu'on peut le faire vérifier, par un humain et même par une machine.Le 19/05/2025 à 15:17, Richard Hachel a écrit :Ben tu fais fais l'hypothèse que tu sais calculer.Le 19/05/2025 à 15:10, Python a écrit :Non. Poser est le contraire de démontrer ou calculer, "poser" c'est faire une hypothèse (avec parfois des arguments, mais pas de preuves).Le 19/05/2025 à 14:45, Richard Hachel a écrit :Si, si, tu poses. Accepter, c'est poser.Python pose que e^π=23,14069263.Je ne "pose" pas. C'est le résultat d'un calcul. Tu confonds délire théologique et mathématiques.
Donc tu poses.NON.
Il ne "pose" pas. Qu'est-ce qui t'empêche de consulter les démonstrations de cette formule ?Je suis d'accord. Je cherche, justement, le rapport. Comment Euler en vient-il à poser e^iπ=-1?Revenons à e^π=23,14069263Délire sans rapport avec la question.
Pratiquons une rotation de 180° [...]C'est purement mathématique.Aucun rapport avec la question de la valeur de exp(i*pi).
Je fais une rotation de 180° sur le point $(0,1) qui est l'endroit où ma courbe croise l'axe des y.
Alors que manifestement e^iπ=-21,14069263"manifestement" ? En quoi ? Parce que *tu* le dis. C'est court (pour le moins) comme argument.
Nous ne parlons pas de la même chose. Reste à savoir qu'est ce qui fait passer d'une équation à l'autre?L'un est vrai (Euler), l'autre est faux (le tiens)
C'est à dire qu'est ce qui fait que les deux résultats sont vrais? Et qu'est ce qui les lie?
Existe-t-il une constante capable de faire passer d'une écriture à l'autre? Je rappelle que i n'est pas un nombre, pas plus que i². Même si 1.i²=-1Blabla. Et qui n'empêche pas ton postulat sur i d'être contradictoire.
i est une pure opération imaginaire, qui fait passer un réel en nombre imaginaire.
Les messages affichés proviennent d'usenet.