Sujet : De la nature de i
De : r.hachel (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.mathsDate : 11. Jun 2025, 00:04:49
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Il semble donc bien que l'entité i, comme le docteur Hachel le prétend, ne soit pas un nombre, mais une opération. Comme la fonction racine carrée, ou la fonction "plus" ou "multiplier" ; plus précisément une opération de rotation à 180°. Ainsi chercher les racines imaginaires cartésiennes d'une fonction f(x) conduit à s'approprier les racines réelles de la fonction g(x) symétrique en point$(0,y₀) définie par :
<
http://nemoweb.net/jntp?sQtoZSUi8IwYppRBLYBag93ejP8@jntp/Data.Media:1>
C'est d'une grande simplicité. Le problème qui se pose, est évident. Pourquoi dans les repères cartésiens i induit une rotation de 180°,
alors que dans les référentiels d'Argand, la rotation n'est que de 90°? Mais parlons nous de la même chose? Dans les référentiels cartésiens, je parle de réels et d'imaginaires purs. Chez moi, la doctrine des "complexes" n'y est une qu'une doctrine incompréhensible et abstraite. Dans les référentiels gaussiens (référentiels d'Argand), c'est autre chose. Là, je l'avoue avec clarté, nous parlons bien de nombres complexes de type Z=a+ib.
"Il faut dire les choses", c'est à dire, les clarifier.
R.H. R.H.