Re: Et voilà, je m'en doutais.

Le 23/06/2025 à 18:49, Python a écrit :

Le 23/06/2025 à 18:43, Richard Hachel  a écrit :

Le 23/06/2025 à 17:23, Python a écrit :

Le 23/06/2025 à 17:10, efji a écrit :

 

Il est vrai que sa dissonance cognitive est invraisemblablement profonde. Dans une discussion sur les procédures de synchronisation d'horloges il en est arrivé à avancer des absurdités telles que 2 + 3 = 5 pourrait ne pas être vrai pour tous les observateurs.

  Non, TOI tu dis que j'ai affirmé que le temps propre d'un sujet peut varier selon les observateurs.
  Le temps propre ou temps local est un invariant, sinon ce serait absurde. 

 Je TE cite, extensivement, avec copie d'écran dans l'article. Il n'est même pas question de temps propre, c'est pire que ça.

Et voilà, il n'a rien compris du tout, mais il est content de faire des articles diffamatoires.
Il croit comprendre la notion de relativité du temps (qui, pour lui, est à proprement parler une relativité réciproque de la chronotropie). Mais ce n'est que la moitié du double problème concernant la nature du temps. Il ne comprend rien de l'autre partie : la notion d'anisochronie universelle, et de relativité de la notion de simultanéité. Que des horloges ne battent pas à la même vitesse par changement de référentiel, il le comprend. Mais que la simultanéité de deux événements présents dans le MEME REFERENTIEL et qui est AUTRE CHOSE que la vitesse de passage du temps, soit relative, il ne le comprend pas.
 J'ai pourtant expliqué ça avec un flux littéraire et des équations mathématiques très élégants et précis depuis des années, résolvant du même coup tous les paradoxes, même en milieu uniformément accéléré ou en référentiels tournants.  Il m'aura lu pendant 40 ans sur usenet, et n'aura toujours pas compris le primum movens de la théorie de la relativité : l'anisochronie universelle.  Il ne voit pas plus loin que le problème de chronotropie interne des montres qui, compris isolément, conduit à tous les paradoxes et incompréhensions possibles.  C'est stupéfiant.
 R.H.