Le 29/06/2025 à 08:58, Samuel Devulder a écrit :
Le 29/06/2025 à 02:02, Richard Hachel a écrit :
i^3+1=0. CQFD .
Et tu fais encore une erreur de calcul!
Mais non! Je ne "semble" faire une erreur de calcul que parce que tu t'es imprégné de mauvais vin, et qu'habitué à ce mauvais vin, ton palais ne reconnais même plus le bon (certains boivent du pétrole). Il n'y a pas d'erreur de calcul, et cette discussion devient désolante tellement la bêêêêttise de certains commence à tout pourrir.
On respire, on souffle, bordel de merde, et on arrête toutes les singeries inutiles.
Je reprends, à grands coups de genoux dans les couilles, et à grandes claques dans la gueule, comme au bon vieux temps de la psychiatrie du Moyen-Age, quand le Risperdal n'existait pas. Bandes de têtes de fous, va!!!
On reprends donc. Je dis BORDEL de MERDE, que l'on imagine une univers où i^x=-1 quelque soit x, et où (-i) vaut, selon la parité de l'exposant, et à l'inverse de l'unité mathématique 1 dont il est le CONTRADICTOIRE, soit +1 soit -1.
MAIS MERDE!!!
Mais un élève de troisième comprendrait l'idée.
Sauf qu'un élève de troisième est moins enclin à faire du concours de bite, et qu'il est naturellement plus ouvert à ce qu'on tente d'expliquer.
Il n'y a pas d'erreur de calcul, il n'y a que des cons qui veulent montrer qu'ils ont des gros slips.
On reprend encore. Nous avons une fonction f(x)=x^5+1
Les mathématiciens, très grossièrement, se branlent, et proposent cinq racines à la con.
Tu leur proposes f(x)=x^(6673)+1, ils vont te trouver, ne riez pas, six mille six cent soixante-treize racines. Sauf que comme pour f(x)=x^5+1, il n'y en a que deux, l'une réelle x'=-1, l'autre imaginaire pure (je ne dis pas complexe qui est un terme inutile ici en milieu cartésien), x"=i. Racines d'ailleurs confondues graphiquement sur x'Ox et i'Oi, son axe inverse).
i^3 = i*i*i = (i*i)*i = (-1)*i = -i. C'est un imaginaire pur que tu ne peux combiner avec un autre pour obtenir un réel comme -1.
Tu ne comprends pas, et comme tu ne fais aucun effort, tu répète inlassablement une critique
qui montre que tu n'a pas compris le concept de l'imaginaire "hachélien" qui n'est pas ce qu'en disent les mathématiciens.
On ne décrit pas la même chose. C'est comme si tu utilises i comme unité imaginaire et qu'un autre l'utilise comme unité de mesure de l'intensité. On ne va pas se comprendre.
CHEZ MOI, i n'est pas tout à fait le même concept. On ne peut donc pas me critiquer, on ne peut donc pas dire : "Il fait des erreurs de calculs", même si ça m'arrive et surtout des erreurs de signes ou des erreurs de frappe. Il faut comprendre les bases. On peut critiquer les bases, mais les bases étant comprises, on ne peut pas dire, il y a erreur de calcul. C'est contradictoire, puisque le résultat s'accorde avec la base. i^5=-1.
Un remarque au passage, considérons x=exp((2k+1)*pi*i/5) et multiplions 5 fois par lui même: x*x*x*x*x = exp((2k+1)*pi*i/5)*exp((2k+1)*pi*i/5)*exp((2k+1)*pi*i/5)*exp((2k+1)*pi*i/5)*exp((2k+1)*pi*i/5)
Te voilà parti dans le concept trigonométrique COMPLEXE.
Je ne cesse de te répéter que tu es en train d'utiliser des outils certes très vrais et utiles,
Gauss, Argand, Euler, mais qui ne s'appliquent pas ici, sur de simples fonctions cartésiennes. Ce n'est PAS la même géométrie. Si on les culule, on obteint une géométrie abstraite qui devient fausse pour ce qui est des racines cartésiennes et on s'invente des résultats "complexes" qui n'ont pas lieu d'être. Une racine de fonction ne peut être que réelles ou imaginaires. Le reste est confusion et masturbation mathématique qui n'aboutit à rien du tout, et qui mériterait d'être élagué des manuels scolaires.
Je ne parle pas des nombres complexes de type Z=a+ib, c'est pas d'ça que je parle, je parle des "racines complexes" des fonctions cartésiennes.
Mais le choc intellectuel dépasserait les mathématiciens. On lâche rarement un os, même pourri. Donc t'inquiète, f(x)=x^5+1 n'a que deux racines. x'=-1 et x"=i
Tout le reste encombre l'esprit (on se plaindra que les filles d'un esprit plus simple et plus concret, n'aiment pas les mathématiques, et les cons, comme madame Borne voudront qu'il y ait plus de filles en maths, mais sans en changer les abords faux, inutiles, compliqués, ou débiles).
R.H.