Re: 5^(3i)

Le 12/07/2025 à 15:06, Python a écrit :

Le 12/07/2025 à 15:03, Richard Hachel  a écrit :

Le 12/07/2025 à 14:42, Olivier Miakinen a écrit :

Si tu postes sur un forum médical que les cerises guérissent du zona, tu prendras comme une confirmation que des médecins te rétorquent que non ?

 Je suis toujours étonné de la facilité avec laquelle on peut réfuter certaines affirmations.  Premièrement, il serait très étonnant que je poste que les cerises guérissent du zona.  Et donc, il est absurde que l'on puisse me répondre à une question que je n'ai pas soulevé.
 Par contre, oui, si certains médecins, pharmaciens ou biologistes, me répondent que je suis un crétin,
un incompétent, une ordure (comme toi tu le fais sans cesse), il est évident que je considèrerai que c'est une confirmation que mes concepts étaient les bons.  Comme par exemple lorsque je dis : "Il est tout à fait étonnant que de grands laboratoires pharmaceutiques aient prétendu que le coraonavirus était bien plus dangereux que la grippe de 1918 ou celle de 1956, et qu'il fallait injecter des millions de doses, y compris aux femmes enceintes et aux enfants, sans avoir fait préalablement des études longues et sérieuses sur les effets indésirables, et en faisant disparaitre toutes les communications téléphoniques entre acheteurs et vendeurs des doses".
Les insultes reçues seront pour moi une preuve qu'il y a bien des choses pas claires.
Comme il n'est pas clair qu'on ait enfermé des peuples entiers pendant des mois pour une "grippe".
Comme il n'est pas clair qu'il faille vacciner des femmes, des vieux, des enfants, des travailleurs avec un vaccin qui ne protège pas, et qui ne stoppe pas la contamination. Bien sur que oui, et pas besoin d'être complotiste, je prendrais les insultes et les menaces comme une preuve que je ne suis pas tout à fait dans le faux. Et c'est pas un petit Python qui va m'expliquer comment on vaccine, pourquoi on vaccine et comment on soigne les grippes (j'ai fait ça pendant 45 ans, mec), et pas le cul assis dans un laboratoire.
Je prend donc les critiques qu'on veut me faire avec des pincettes et je reste dans mes optiques cartésiennes qui veulent que j'aime comprendre ce que je fais et pourquoi je le fais. R.H.