Re: Quand l'I.A. pète les plombs sur la RR.

Le mardi 9 mai 2023 à 13:17:48 UTC+2, Python a écrit :

Vous l'avez dit en passant dans un autre message, mais pas dans
celui auquel je répondai[avec un s].

Donc je l’avais bien défini. Il eut donc fallu que je répétasse la définition!
Vous êtes un rigolo, vous.

Le mot "trajectoire" n'est même pas présent dans celui-ci !!!
Trajectoire de quoi ? Définie comment ?

Faut deviner !

D'ailleurs il n'est pas question de trajectoire ici, on [n’en] a
pas besoin pour décrire la composition de deux transformations
de Lorentz.

M’en fous des équations de Lorentz, elles sont mauvaises.

Ça ne change rien au fait que vous n'avez rien fourni [sans t] qui
ressemble, même de loin, à une théorie physique.

Pas de ma faute si vous ne comprenez pas une théorie physique simple, claire et néanmoins géniale.
Bon je poursuis pour ceux qui suivent.

L’espace général G est le produit d’un espace physique E par l’espace des vitesses F afférent. On peut également définir l’espace général G’ comme le produit d’un espace physique E par un espace des vitesses F’, tel que: y’ ε F’, y’ = b’ f, avec b’ = v/. Je rappelle que f est le vecteur unitaire tangent à la trajectoire. G’ est construit sur le corps des complexes. Un vecteur z de G’ s’écrit z’ = x + i y’. La dérivée de z par rapport au temps est w’:
w’ = dz’/dt = v + i u’, avec v = dx/dt, u’ = dy’/dt = gt + gn, gt et gn étant respectivement les accélérations tangente et perpendiculaire à la trajectoire,
gn = v^2/r, r étant le rayon de la trajectoire et n le vecteur unitaire perpendiculaire à celle-ci dirigé vers l’intérieur.
On définit la fonction h’ = m z’ = q + i p avec q = m x et p’ = m y’
dz’/dt = Q + i F’ avec Q = m v et F’ = m u’ = F’t + F’n
avec F’t = m gt et F’n = m gn = m v^2/r.

Avec l’espace G’, on retrouve la mécanique classique, avec l’espace G, la mécanique relativiste. Très intéressante cette théorie ! Elle est en accord avec la théorie de la relativité et elle englobe la mécanique classique.