Le jeudi 11 mai 2023 à 19:19:33 UTC+2, Julien Arlandis a écrit :
Votre prétention à parler de théorie à propos de votre production est
ridicule, c'est comme quelqu'un qui se pointe avec une nouvelle théorie
musicale alors qu'il ne connait pas le solfège et n'a jamais joué d'un
instrument. Vous prétendez que vous avez lu des tas de choses sur le
sujet, mais on voit tout de suite que vous n'avez rien compris et que vous
ne maîtrisez pas votre propos,
Vous m’auriez dit ça il y a une vingtaine d’années, j’en aurais été très affecté, car je doutais beaucoup à cette époque. Mon truc ayant été validé depuis, ça me glisse dessus et me fait sourire.
à [cela] vous répondez que vos détracteurs se ferment par corporatisme.
Vous me faites penser à ces chiens qui aboient et montrent des crocs quand on passe sur le chemin qui borde leur ferme. Je comprends que vous défendiez votre pré carré, mais j’eu préféré des critiques plus circonstanciées. En effet, je ne rejette pas complètement la théorie de la relativité, puisque je me suis appuyé dessus pour élaborer ma théorie, pardon, mon truc.
Le jeudi 11 mai 2023 à 19:19:33 UTC+2, Julien Arlandis a écrit :
Mais il y a une autre hypothèse
beaucoup plus probable : vous êtes en pleine dissonance cognitive.
«La dissonance cognitive est donc un phénomène psychologique qui se produit lorsqu’une personne est confrontée à deux informations qui sont en conflit l’une avec l’autre et qui donc, ne peut offrir la moindre réponse satisfaisante ».
https://www.soutien-psy-en-ligne.fr/6-etapes-sortir-dissonance-cognitive/J’ai connu la dissonance cognitive quand j’ai étudié la relativité car au fur et à mesure que je construisais mon truc je m’écartais de celle-ci. Je ne pouvais plus croire en cette théorie pourtant sûrement la plus importante du XXème, et non plus en la mienne, qui me paraissait juste mais pas encore approuvée par quelque instance.
Confronté à une théorie élaborée par un génie et un truc établi par un petit ingénieur qui ne voyait pas d’erreurs dans sa théorie, pardon son truc, j’ai été sujet à la dissonance cognitive.
Son truc ayant été validé, il a poursuivi son investigation, il l’a approfondi, il l’a relié à la philo, et il l’a incorporé à la relativité.
Je ne suis plus dans la dissonance cognitive, j’ai adopté cette proposition, je suis serein et je m’amuse à titiller les tenants de la relativité. Je glane ainsi quelques remarques qui me sont utiles pour la rédaction définitive de ma théorie.
Monsieur Arlandis, je vous fais un résumé de mon truc que vous lirez peut-être si vous avez le temps. J’essaye d’y intégrer les remarques que l’on m’a faites.
On décrit le mouvement d’un corps par rapport à un référentiel. À ce référentiel est associé un espace euclidien E isomorphe à R3. On pourra à ce sujet consulter tout ouvrage traitant de la cinématique du point, tel que celui-ci
https://femto-physique.fr/mecanique/cinematique.phpUn vecteur position x = OM associé à un point M de E est tel que:
x = a e = Σ ak ek, k ε K = (1,2,3) les (ek) formant une base orthonormée de E, et e étant le vecteur unitaire de OM.
D’habitude je distingue l’espace affine de l’espace vectoriel en notant en gras celui-ci, de même pour les vecteurs, mais ici ce n’est pas possible, aussi me pardonnera-t-on cette confusion, de même que l’on ne peut mettre des indices, ce qui est bien dommage.
Le vecteur vitesse tangent à la trajectoire est v = |v| f, |v| étant la norme de la vitesse et f le vecteur unitaire tangent à la trajectoire. On construit l’espace des vitesses F, en se référant à la rapidité de la théorie de la relativité, comme quoi je tiens bien compte de celle-ci.
y ε F, y = b f = Σ bk ek tel que b = arsh v/c.
On construit ensuite l’espace général G sur les complexes, produit de E par F:
G = E o F, z ε G, z = Σ ck ek, ck = ak + i*bk
Dans cet espace, comme dans l’espace E, on peut décrire la trajectoire d’un corps. La vitesse w d’un point matériel est w = dz/dt = v + i*u,
avec v = dx/dt, u = dy/dt = db/dt f + b df/dt.
Bon! J’espère ne pas avoir dit trop de bêtises et avoir respecter les bonnes notations (par exemple, j’ai mis des petites étoiles bien que je les trouve inutiles) que je ne fasse pas me engueuler par vous, par Typhon, ou par un autre spécialiste.
Cela dit je ne vais plus vous embêter avec mon truc, mais me consacrer plutôt à peaufiner ma théorie. Il y a une autre partie consacrée à la réalité observable (ou réalité visible, .ou réalité perceptible, ou réalité empirique, au choix) mais je ne peux en parler, déjà que vous poussez des cris d’orfraie sur la réalité réelle, si je puis me permettre ce pléonasme, alors je n’ose imaginer ceux qui seraient émis pour l’autre partie. Et puis il me reste à trouver la fonction isomorphe qui lie ces deux représentations. J’ai hâte de la trouver, même si je sais laquelle c’est dans ma tête, je ne l’ai pas encore mise sur papier.