Sujet : Re: Théories correctes mais fausses
De : yanicktoutain (at) *nospam* gmail.com (Yanick Toutain)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 19. Oct 2023, 03:08:13
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Le mercredi 18 octobre 2023 à 23:33:48 UTC+2, Michel Talon a écrit :
Le 18/10/2023 à 23:07, Michel Talon a écrit :
C'est tout à fait évident qu'avec cette procédure la synchronisation est
*différente* dans un repère R' en mouvement
par rapport à R puisque A et B se déplacent pendant le trajet du flash.
Et c'est aussi évident que le décalage du point 0 augmente
proportionnellement à la
distance entre A et B.
On peut trouver une explication d'une clarté géniale de ce fait par
Einstein
lui même (malheureusement en anglais) dans cet article qui se trouve
très curieusement sur marxists.org
https://www.marxists.org/reference/archive/einstein/works/1910s/relative/relativity.pdf
--
Michel Talon
Ici Einstein - PIÈTRE GNOSÉOLOGUE - a le culot de parler de réalité en soi (et donc de distesses objectives qui sont des soustractions de vitesses objective dans le vide de chacun des corps) Il n'y a jamais aucune raison de changer quoi que ce soit à cette réalité objective où les distesses s'additionnent "en soi " Les perceptions "pour soi" sont autre chose où les phitesses ne s'additionnent pas EINSTEIN GOOGLE TRANSLATE
Le théorème de l'addition des vitesses employé en mécanique classique Supposons que notre vieil ami le wagon de chemin de fer se déplace le long des rails avec une vitesse constante v, et qu'un homme parcourt la longueur du wagon dans le sens du déplacement avec une vitesse w. À quelle vitesse ou, en d'autres termes, avec quelle vitesse W l'homme avance-t-il par rapport au talus au cours du processus ? La seule réponse possible semble résulter de la considération suivante : si l'homme restait immobile une seconde, il avancerait par rapport au talus d'une distance v égale numériquement à la vitesse du chariot. Mais en raison de sa marche, il parcourt dans cette seconde une distance supplémentaire w par rapport à la voiture, et donc aussi par rapport au talus, la distance w étant numériquement égale à la vitesse avec laquelle il marche. Ainsi au total be couvre la distance W=v+w par rapport au remblai dans le second considéré. Nous verrons plus loin que ce résultat, qui exprime le théorème de l'addition des vitesses employé en mécanique classique, ne peut être maintenu ; en d’autres termes, la loi que nous venons d’écrire ne tient pas dans la réalité. Mais pour le moment, nous supposerons son exactitude.