Re: De la relativité des distances

Richard Verret a pensé très fort :
...

L’homme a toujours été en quête de vérité. Il l’a d’abord cherché dans les saintes écritures avec la religion. Il s’est aperçu que ce n’était que de l’imaginaire, il l’a alors cherché dans la nature avec la science. Il est en train de s’apercevoir que ce n’était qu’un leurre. Ce qu’on observe n’est pas la réalité, mais la réalité observable...

Ce n'est une découverte que chez les attardés. La science n'étudie que ce qui est observable (directement ou indirectment). Si ce n'est pas observable, ce n'est pas de la science, mais de l'imaginaire, par définition, puisque c'est un pur produit du cerveau. On peut même définir la réalité comme étant ce qui est observable.
Le "réel psychique" est l'état électrochimique du cerveau, il est observable, mais pas (encore) à notre portée, question de complexité.
Aller imaginer que ce "réel psychique" serait une réalité intrinsèque différente de celle observable est le lot de tous les mystiques, religieux, illuminés de tout poil, lesquels n'ont jamais abouti à rien pour agir sur notre monde (mise à part par leur prosélytisme), tout simplement parce que leurs croyances et superstitions sont totalement infondées, toutes différentes entre elles voire incompatibles, évidence que c'est uniquement de leur cerveau déconnant que ça sort.

La contraction apparente des dimensions a lieu dans toutes les
directions, c’est un effet de perspective dû à la vitesse.

C'est un effet de perspective lorsqu'on cherche à ramener ce qu'on observe dans un univers 3D, alors qu'il est en 4D.
En 4D, notre réalité, un intervalle d'espace-temps a toujours la même "longueur" quelque soit l'observateur.