Sujet : Re: De la relativité des distances
De : rverret97 (at) *nospam* gmail.com (Richard Verret)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 07. Jun 2023, 11:17:38
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Le mardi 6 juin 2023 à 22:05:15 UTC+2, Richard Hachel a écrit :
Je suis en désaccord total avec la façon dont Richard Verret considère
les contractions des longueurs,
qu'il pense tous azimuts.
C'est évidemment absurde, car cela rend contradictoire l'idée de
covariance des effets.
C’est à dire?
C'est tellement évident qu'il y a une contradiction nouvelle qu'il n'y a
pas à s'y attarder.
C’est peut-être évident pour toi, mais il est bon de démontrer ses affirmations; une affirmation sans preuves peut être infirmer sans preuves. De plus je ne comprends pas ta phrase.
Je suis également en désaccord avec sa notion de chronotropie absolue
(selon lui toutes les montres battent à la même vitesse et il n'y a pas
de relativité du temps, il pense que Stella n'a pas 18 ans, et Terrence
n'a pas trente ans). Je pense l'inverse.
Là aussi il faudrait que tu démontres cette affirmation.
Je suis enfin en désaccord avec son idée de direct-live généralisé,
et symétrique. J'ai toujours dit le contraire
en écrivant "On pourrait trouver un signal infiniment rapide...
blablabla, or, cette preuve n'existe pas."
Ce n’est pas parce que un tel signal n’existe pas qu’on ne peut pas l’imaginer; ça s’appelle une expérience de pensée.
Posons p=mv.
Pourquoi voulez-vous que, à partir d'une certaine vitesse, la loi ne
marche plus, et qu'elle devienne tout autre?
Ce n’est pas qu’on le veut, c’est qu’on constate qu’elle n’est plus valable.
Il est évident qu'il faut continuer à penser p=mv.
Il est nécessaire que p = m c arsh v/c pour que les faits soient vérifiés.
Bref, il pose p=m [Vo/sqrt(1-Vo²/c²)] et sur ça, c'est lui qui a
raison.
Comme je l’ai dit, je pose p = m c arsh v/c = m c arth Vo/c avec v = γ Vo; γ étant le coefficient de Lorentz γ = [Vo/sqrt(1-Vo²/c²)].
Pour les faibles vitesses devant celle de la lumière on retrouve la formule classique:
p = m v = m Vo.