Le 02/10/2023 à 14:53, Michel Talon a écrit :
Le 02/10/2023 à 14:28, Yanick Toutain a écrit :
Niez vous que les observateurs soient au centre de LEUR référentiel CITATION "Dans cette conception, qui est la conception standard, ce que pense l'observateur en O on s'en moque complètement" ?
Il n'y a pas de référentiel "de l'observateur", oui je nie absolument.
Et moi, je l'affirme absolument. Tout référentiel ne peut être que ponctuel en cinématique relativiste.
Comme tout repère en physique newtonienne, d'ailleurs.
Si je place mon repère sur Romeo placé sur ce banc dans la cour, je ne le place pas sur Juliette assise sur cet autre banc, dans la parc. Cela fait bien rire l'idiot du village (qui veut en découdre physiquement) mais je le répète:
Un référentiel, c'est ponctuel, personnel, basé sur une origine qui est l'observateur (cet observateur peut être virtuel). Si je change d'observateur, je change x,y,z en x',y',z'.
Mais comme il n'y a pas de présent absolu, je change aussi t en t'. Juliette sur son banc, n'a pas la même notion de l'instant présent universel que Romeo.
Il n'y a pas de présent absolu ou réciproque, chacun existe "en retard sur l'autre". Si l'on se place dans des référentiels relativistes mobiles, c'est encore pire. Non seulement il n'y a plus une simple anisochronie universelle, mais en plus, il existe une anomalie du second degré qui va apparaître et s'ajouter. La notion de chron,otropie devient relative (les aiguilles ne battent même plus à la même vitesse, chaque observateur note que l'autre horloge possède un mécanisme interne qui bat moins vite).
Ce dernier fait est accepté par tous les relativiste du monde.
Ils l'appelle l'effet Lorentz.
Mais bizarrement, ils ne comprennent pas ou refusent le premier, pourtant encore plus simple et plus évident, et traient Hachel de crétin.
C'est surréaliste ce qui se passe.
C'est une fausse conception qui hante les posts de Hachel.
C'est juste une vérité universelle.
Comme la notion de gravitation. L'anisochronie est universelle. La notion de temps présent absolu et réciproque n'est qu'une idée abstraite. Ca n'existe pas "ça".
Il y a des référentiels, et dans chacun une infinité d'observateurs, tous équivalents, et qui n'observent que les événements où ils se trouvent.
Bieeeen !
Mais pas au "moment même" où ils se sont produits pour un autre observateur placé pourtant dans le même référentiel.
Je nie absolument la question que vous avez posée, "un événement en un lieu donné en un temps donné", ça n'a aucun sens,
Un événement se produit en un lieu donné (différent selon le repère 3D).
Et en un moment donné (différent selon le référentiel 4D).
sauf dans un référentiel. Par exemple tel objet est immobile au milieu d'un wagon, quand vu du quai, il se déplace. Cette relativité galiléenne tout le monde en est conscient, ça ne viendrait à l'idée de personne sauf un idéologue complètement obtus, de le nier.
C'est pour ça que je parle toujours de baby steps. Commencer par affirmer les bases, respirer, souffler. Essayer de comprendre ce que cet immense génie
de Hachel explique. Respirez, soufflez.
Avec la relativité de la simultanéité, on ne peut même pas dire que l'événement se produit en un temps donné.
Il se produit forcément en un temps donné pour l'observateur. Mais ce n'est pas le même. De même qu'en me déplaçant, l'évenement ne se produira pas au même endroit (pour moi),
il ne se produira plus, non plus, au même instant.
ANISOCHRONIE SPATIALE : respirez, soufflez!
De même la formule de Verret "le temps propre est invariant par changement de référentiel" n'a aucun sens,
Ce n'est pas que ça n'a pas de sens, c'est que c'est une tautologie.
Cela revient à dire : "Cet encrier est un encrier".
car le temps propre n'est défini que dans un référentiel où la montre est au repos.
Oui.
Bref la quasi
totalité des assertions faites dans le fil est un tissu d'absurdités.
Il ne faut pas dénigrer les participants.
Sinon, un jour, on se prend un immense retour de manivelle. C'est un peu l'histoire de Python qui veut jouer au con en insultant, diffamant, harcelant
la plupart des intervenants qui ne lui plaisent pas.
Mathématiquement, il tombera toujours sur un pic. R.H.