Sujet : Re: Le problème de l'anisochronie relativiste.
De : julien.arlandis (at) *nospam* gmail.com (Julien Arlandis)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 16. Feb 2024, 08:20:02
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Le 15/02/2024 à 22:22, Richard Verret a écrit :
Le 15/02/2024 à 20:47, Julien Arlandis a écrit :
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on est con...
Sommes-nous cons parce que nous nous posons des questions? C’est une bonne question aussi, je vais y réfléchir comme je vais le faire pour cette histoire de vitesses absolues.
Tes grandeurs réelles que tu opposes aux grandeurs observables sont la source de confusions profondes qui bloquent toute compréhension des concepts de base de la cinématique. Quand tu écris :
"Vr = Lr/Tr. Lr et Tr sont valables pour tous les observateurs, donc la vitesse réelle Vr est valable pour tous les observateurs, ce serait une vitesse absolue."
Comme on a tenté en vain de te l'expliquer, la distance entre deux événements dépend du référentiel. Par exemple, le départ d'un corps mobile inertiel A et son arrivée en B définissent une longueur de trajectoire AB qui dépend du référentiel d'où sont évaluées les coordonnées de A et de B. Ceci est de la pure cinématique galiléenne dont tu as refusé d'étudier les transformations. Évoquer une distance Lr revient à postuler l'existence d'un référentiel absolu où la mesure de la distance entre A et B acquiert une propriété différente par rapport à tous les autres référentiels, propriété que tu qualifies pompeusement de réelle au seul motif que tu es incapable de fournir la moindre définition opérationnelle à de telles grandeurs, comme si elles devaient constituer le point d'entrée d'un nouveau paradigme.