Re: Quand l'I.A. pète les plombs sur la RR.

Le 01/05/2023 à 20:46, Python a écrit :

Le 01/05/2023 à 20:15, Richard Verret a écrit :

Le lundi 1 mai 2023 à 18:00:27 UTC+2, Julien Arlandis a écrit :

un réseau d'horloges identiques placées en touts points

 Je comprends.

un réseau d'horloges placées
aux endroits qui nous intéressent) d'un repère, en repos relatif les
unes par rapport au autre

 Je comprends.

et dans le repère et synchronisée selon
une procédure consistante (symétrique, réflexive, transitive).

 C'est l'histoire du serpent qui se mord la queue.
 Tu ne PEUX pas physiquement synchroniser tes montres.
 Tu ne peux que les synchroniser comme je le fais, c'est à dire les synchroniser
 sur un observateur placé très loin, transversalement, et dans une quatrième dimension spatiale hypothétique.
 C'est cet observateur là qui sert d'origine et assure un "plan du temps présent" basé sur lui.
 C'est cet observateur là, par rapport à un autre observateur présent de la même manière dans un nouveau repère inertiel qui fournit les transformations de Poincaré-Lorentz.  Tu peux alors mettre quelques milliers de montres dans ton repère inertiel, et tu auras une synchronisation sur LUI.
 QUE SUR LUI.  Mais entre elles, réellement, physiquement, les montres ne pourront jamais s'accorder sur la notion même de "temps présent" ou de simultanéité des événements présents dans le repère.
 Il serait temps que les physiciens se débarrassent de cette notion erronée de temps présent absolu dans un repère inertiel.  Je ne comprends même pas que ça puisse exister dans l'esprit d'un physicien relativiste.  Pour moi, c'est presque du même niveau que la croyance en la terre plate.  R.H.