Sujet : Re: De la relativité de la simultanéité en physique
De : pourquoi-pas (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 04. Mar 2024, 19:04:40
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Le 04/03/2024 à 18:36, Richard Verret a écrit :
Le 04/03/2024 à 17:20, Richard Hachel a écrit :
La première base, c'est l'anisochronie. Deux événements séparés par une distance n'ont pas de simultanéité réciproque, c'est impossible. Ils peuvent être, à la rigueur parfaitement simultané pour un observateur central, ou pour un autre observateur, ou pour A, ou pour B. Mais jamais pour tous les observateurs en même temps.
La première base, c’est la définition même de la simultanéité "Se dit d'évènements distincts ayant lieu au même moment" https://dictionnaire.lerobert.com/definition/simultane#google_vignette
Il s'agit là d’une proposition analytique, qui "est vraie en vertu de la signification des termes qu'elle contient. "https://www.universalis.fr/encyclopedie/proposition-analytique/. Tu ne peux pas changer cela, c’est une proposition vraie, une vérité. Dire autre chose est faux, désolé!
Respirez, soufflez...
Je le répète, la base même de la relativité, c'est l'anisochronie (au premier degré).
Au second degré, cela va donner To²=Tr²+Et² qui va conduite à un effet sur la chronotropie,
c'est à dire cet effet réciproque qui est la dilatation réciproque des chronotropies : les montres personnelles battent toujours, de par leur mécanisme INTERNE) plus vites que les autres montres. Si l'on veut connaître l'équation finale, l'effet final, il faut prendre en compte les deux effets.
Et leur donner une consistance absolument réelle.
C'est ce que font (et ils ont raison) les physiciens pour la chronotropie, mais pour l'anisochronie,
ils pensent que ce n'est qu'un effet apparent. Je ne dissocie pas les deux effets. Ils sont réels tous les deux.
Il ne faut pas abstraire l'effet du premier degré comme un effet "seulement apparent" alors que l'on accepte l'effet du second degré (produit carré du premier) comme véritable. Pour la définition de la simultanéité, j'ai déjà écris de nombreuse fois comment il fallait la définir,
et pourquoi il s'agissait d'un phénomène relatif à la POSITION. <
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Etrangement, j'ai toujours eu peu de réponses sur le sujet, sinon les sempiternelles jérémiades
d'une intervenant fou, bien connu sur les réseaux usenet pour son addiction caractérisée au surinages publics, et son incapacité à comprendre un développement intellectuel. R.H.